Summary
The abuse potential of several anorectic drugs was assessed in a series of experiments in animals and in man. Rats were implanted with intravenous cannulae, and placed in cages where they could activate an infusion apparatus by lever pressing and thus receive intravenous injections. Different anorectic drugs were presented for self-administration, after the rats were trained to self-administer amphetamine. In one experiment, the test drug was available for several days. In a substitution experiment, the drug was changed every day. In an extinction experiment, the test drug was given prior to sessions where saline was available for self-administration. In a separate study, oral single doses of drugs were given to human subjects familiar with the subjective effects of amphetamine. Among the tested anorectic drugs, amphetamine, phenmetrazine, and diethylpropion showed high rates of responding in all experiments. In the human study, amphetamine and mazindol showed euphoric properties. Fenfluramine, however, did not show a similar pattern in the two models. It is concluded that fenfluramine does not have similar abuse potential to that of other anorectic drugs.
Résumé
Le potentiel d'abus de plusieurs anorexigènes a été “démontré” au cours d'une série d'expériences faites chez l'homme et chezVanimal. Des canules intraveineuses ont été implantées chez des rats que l'on a placé's dans des cages, oú, en maniant un levier, Us pouvaient mettre en marche un appareil et recevoir ainsi une injection intraveineuse. Aprés avoir appris à des rats a s'administrer des amphétamines, différents anorexigènes leur ont été présentés. Au cours de l'une des expériences, le méme médicament test a été utilisé pendant plusieurs jours. Au cours d'une expérience de substitution, le médicament changeait tous les jours. Au cours d'une expérience ultime, le médicament testé fut donné avant les séances oú du sérum physiologique était disponiblepour son auto-administration. Au cours d'une étude distincte, une dose unique de médicament par voie orale a été administrée à des humains familiarisés avec les effets subjectifs des amphétamines. Parmi les anorexigènes testés, les amphétamines, la phenmétrazine et le diéthylpropion ont montré des niveaux éléves de réponse positive dans toutes les expériences. Chez l'homme, les amphétamines et le mazindol ont montré despropriétés euphorisantes. La fenfluramine, quant à elle, n'a rien montré de tel chez l'homme ni chez le rat, cequi tend a prouver que la fenfluramineria pas le méme potentield'abus que les autres anorexigènes.
Key Words::