Abstract
Despite possession of a well developed larynx and a gregarious nature, the Giraffe is able to utter only low moans or bleats. Morphological and histological examination, together with measurements of trachea and subglottic area, on three fresh larynges (Giraffa camelopardalis) has made it possible to explain the lack of vocal power. Factors such as thoracic expiratory flow rate. length of trachea and recurrent laryngeal nerves, together with morphological details of vocal folds and intrinsic laryngeal muscles have all been considered, providing a unique example of the relationship between morphology and function in the mammalial larynx.
Zusammenfassung
Trotz Besitzes einer gut entwickelten Larynx und einer sehr geselligen Natur, kann die Giraffe nur ganx leise blöken oder ächzen. Nach morphologischer und histolo-gischer Untersuchung, sowie Messungen der Luftrohren und subglottischen Gebiete von drei frischen Larynges (Giraffa camelopardalis) konnten wir uns nun die Abwesenheit einer starkeren vokalen Fähigkeit erklären. Mitwirkende Umstände wie expiratorische Ausfluss-geschwindigkeit, Lange der Trachea und des Nervus recurrens, sowie morphologische Detaile der Stimmfalten und intrinsischen laryngealen Muskeln wurden aide in Betracht gezogen. Sie gaben uns ein bemerkenswer es Beispiel der Beziehung zwischen Morphologie und Funktion der säugetier-Larynxe.
Résumé
Bien que la girafe (Giraffa camelopardalis) soit munie dˆun larynx largement développé et dˆune nature grégaire, elle n'est capable que dˆémettre des bèlements et des gémissements dans le registre grave. Lˆexamen morpholo-gique et histologique, accompagné de mesures de la trachée-artère et de la zone subglottique, de trois larynx fraiˇchement prélevés a rendu possible une explication de ce déficit de force vocale. Ces facteurs siuvants ont été considérés: la vitesse dˆécoulement de lˆair expiré du thorax, longueurde la trachée-artère, longueur de la branche récurrente du nerf pneumogastrique, les détails morphologiques des cordes vocales et la structure des muscles intriseques du larynx. Ces facteurs offrent un example unique de la rélation entre la morphologie et la physiologie du larynx chez les Mammifères.