In search of truth: Comparing alternative sources of information on reproductive tract infection

Abstract

This study, carried out in Istanbul, compared the reliability of self-reporting, clinical diagnosis and laboratory examinations for determining the extent of reproductive tract infections in 696 women. It found that a physician diagnosed an infection in more than half the women who did not report a problem spontaneously, and in only two-thirds of those who did report a problem. According to the laboratory examination, less than a fifth of those reporting a problem had an infection, while 76 per cent of those who did not recognise they had a problem in fact had one. Worse still, of the women that the physician diagnosed as not having an infection, 69 per cent actually had one. This study shows that using the ‘syndromic’ approach alone has a poor predictive value, that laboratory testing for reproductive tract infections is also essential and that inexpensive tests need to be developed. In addition, the establishment of a standardised symptoms checklist to use in interviews with women and standardised diagnostic criteria for RTIs that include both physician's diagnosis and laboratory test results deserves immediate attention.

Résumé

Les recherches retracées dans Particle ont été menées à Istanbul en vue de déterminer la fiabilité de la morbidité autodéclarée et des examens gynécologiques dans le diagnostic des infections génitales féminines. Les données concernant la déclaration de problèmes gynécologiques par les femmes elles-mêmes (867) proviennent d'une enquête communautaire par questionnaire. Les examens gynécologiques et de laboratoire ont été pratiqués sur 80 pour cent des femmes ayant accepté de s'y soumettre. Les deux méthodes ont donné des résultats différents. Une infection a été diagnostiquée médicalement chez plus de la moitié des femmes qui Wavaient pas signalé d'elles-même un problème, et seulement chez les deux tiers de celles qui l'avaient fait. Selon le laboratoire, il existait une infection chez moins d'un cinquième des femmes disant en avoir une, et chez 70 pour cent de celles qui ne s'en connaissaient pas. Ce qui est pire, c'est que le laboratoire a constaté une infection chez 70 pour cent des femmes chez qui le médecin n'avait rien dépisté. Cette etude montre que l'approche “par syndrome” n'a guère de valeur prédictive. Pour les infections génitales, l'examen de laboratoire est essentiel, et il serait nécessaire de mettre au point des tests peu coûteux.

Resumen

Este estudio de investigación, realizado en Estambul, intentaba determinar la confiabilidad de la notificación de morbilidad por las propias afectadas y de la autorealización de examenes ginecológicos para diagnosticar infecciones del sistema reproductivo en la mujer. Una encuesta a nivel comunitario compiló 867 informes de mujeres con problemas ginecológicos. Se realizó exámenes ginecológicos y de laboratorio al 80 por ciento de las mujeres que aceptaron ser examinadas. Cada método produjo un resultado distinto. Los medicos diagnosticaron una infección en más de la mitad de las mujeres que no informaron de ningún problema, y únicamente en dos tercios de las que si to hicieron. Menos del 20 por ciento de las mujeres que informaron de una infección la padecian realmente, según los exámenes de laboratorio, y el 70 por ciento de las que no identificaron problema alguno de hecho to tenian. Peor aún, entre las mujeres que los medicos declararon libres de infección, el 70 por ciento la padecian. El estudio demuestra que el “guiarse por los síntomas” no es muy útil a la hora de predecir. Las pruebas de laboratorio son esenciales en el caso de las enfermedades del sistema reproductivo y es sumamente necesario el desarrollo de pruebas menos costosas.