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Stress and the Domestic Fowl: a Physiological Appraisal

LE “STRESS” ET LA POULE DOMESTIQUE: LE POINT DE VUE EU PHYSIOLOGISTE

Pages 263-275 | Published online: 23 Sep 2019
 

Resume

Cet article se rapporte aux effets physiologiques de l'agression. Il a été démontré que les glandes surrénales jouent un rôle primordial au cours de la réaction de la Poule aux agressions. Les critères physiologiques pour la mise en évidence du “stress” sont indiqués et la réponse des poulets à diverses agressions potentielles est évaluée. La poule domestique est capable d'être agressée et ses réactions aux agents d'agressions sont similaires à celles des mammifères. Les agents d'agressions courants comprennent: les manipulations, les déplacements et les transports, les températures extrêmes, le débecage, un rang social inférieur, une densité de population élevée.

Les oiseaux agressés se montrent plus sensibles à certaines maladies, notamment la mycoplasmose (Mycoplasma gallisepticum) et la staphylococcic. La poule agressée a également un appétit réduit, des fonctions immunologiques affaiblies, une activité gonadique réduite et des troubles cardio-vasculaires.

C'est pourquoi il est manifestement désirable, soit de réduire les risques d'agressions, soit de limiter celles-ci particulièrement si elles doivent persister pendant une longue période. Lorsque des conditions d'agression de courte durée peuvent être prévues, par exemple, le transport des oiseaux dans de nouvelles installations, un débecage, etc., il peut être intéressant d'administerer un tranquillisant.

Lorsque l'agression est imprévisible ou lorsqu'elle doit durer pendant une longue période, il peut être souhaitable de modifier l'alimentation. L'utilité de l'acide ascorbique pour maintenir le taux de ponte a été démontrée chez des poules soumises à une température élevée. L'intérêt de supplémenter l'aliment avec des antibiotiques est contesté et se révèle indéfendable du point de vue physiologique. Les éléments de preuve disponibles confirment les conclusions du Comité Swann (Rapport d'un Comité mixte sur l'utilisation des Antibiotiques dans l'Elevage des animaux et en Médecine vétérinaire, 1969), selon lesquelles les antibiotiques ne diminuent pas le “stress”.

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