ABSTRACT
Tolerance to the effects of ethanol has always been a matter of debate and speculation. In cases of drinking and driving, how this tolerance relates to impaired driving is of interest. A discussion of the time course of development, the factors affecting tolerance development, and the possible mechanisms leading to tolerance to ethanol is included. From studies of humans and driving, indications are that alcohol tolerance may be significant at moderate blood alcohol concentrations (50–70 mg/100 mL) but insignificant at higher blood alcohol levels.
RÉSUMÉ
La tolérance aux effets de-l'éthanol a toujours été un sujet de débat et de spéculation. Dans des cas de conduite automobile sous l'effet de l'alcool, comment cette tolérance influence les facultés, demeure un sujet d'intérêt. Nous présentons ici une discussion sur l'apparition de la tolérance en fonction du temps, les facteurs affectant celle-ci et les mécanismes impliqués lors de son développement. A partir d'études sur des humains portant sur la conduite automobile, certaines données nous permettent de croire que la tolérance peut être un facteur significatif à des concentrations sanguines d'alcool modérées (50–70 mg/100 mL) mais non significatif à des concentrations plus élevées.