ABSTRACT
Human remains which decompose in water are frequently incomplete upon recovery. We describe a case in which identification of a mandible could not immediately be made because the victim's name had been removed from the missing persons file upon initial recovery of the major portion of the decomposing body. Discovery of further body parts can lead to wasted efforts to identify someone who is, in effect, not missing. It is recommended that a precise autopsy report, describing the state of the remains at original discovery, be communicated to the reporting police agency whose responsibility it will be to keep a record for comparison against future discovery of partial human remains.
RÉSUMÉ
Un cadavre qui se décompose dans l'eau est très souvent incomplet lorsqu'on le retrouve. Nous décrivons un cas dans lequel une mandibule n'a pu être reliée immédiatement à une personne, son nom ayant été enlevé de la liste des gens disparus parce qu'une bonne partie de son corps, en état de décomposition, avait été découvert.
La découverte de nouvelles pièces de cadavre peut nous amener à perdre du temps dans le but d'identifier quelqu'un qui en fait n'est pas disparu. Il est recommandé qu'un rapport d'autopsie précis décrivant l'état des restes lorsqu'ils furent découvert soit transmis au corps policier. La responsabilité de ce dernier sera de garder ces informations qui pourraient être utiles si l'on retrouve d'autres restes humains parfois complémentaires aux précédents.