ABSTRACT
In 1988 S.C. Leung, M.W.L. Chung and this author reported a study in methods of disguise in writing Chinese characters and their percentages of occurrence. That report was based on examinations of a selected group of 98 Chinese characters in 437 sets of normal and disguised Chinese handwriting samples from the more homogeneous Hong Kong population. The present study examined 105 Chinese characters similar to the 1988 study and comprised 144 sets of normal and disguised Chinese handwriting samples obtained from Chinese-Canadian writers in Toronto. Toronto has the greatest concentration of Chinese in Canada. The writers came from Hong Kong, China, Taiwan, Macau, Singapore, Vietnam, Cambodia, India and Canada. The present study revealed several methods of disguise not reported in the 1988 study. There were also agreements and variations between the two studies in the frequencies of occurrence in some disguised features. The present study confirmed the earlier study in that disguise in Chinese handwriting is simple and lacks originality. Characteristics dominating the pictorial effect of the writing and features easily altered are most likely to be changed when disguise is being considered.
RÉSUMÉ
En 1988 S.C. Leung, M.W.L. Chung et l'auteur présentèrent une étude des méthodes de déguisement de l'écriture des caractères chinois ainsi que leur pourcentage d'utilisation. Ce rapport fut basé sur l'analyse d'un groupe sélectionné de 98 caractères chinois provenant de 437 séries de spécimens d'écriture chinoise normale et déguisée provenant de la population plus homogène de Hong Kong. La présente étude examine 105 caractères chinois similaires à l'étude de 1988 et englobe 144 séries de spécimens d'écriture chinoise normale et déguisée provenant de scripteurs Canado-Chinois de la région de Toronto. Toronto a la plus grande concentration de Chinois au Canada. Les scripteurs proviennent de Hong Kong, de la Chine, de Taiwan, de Macao, de Singapour, du Vietnam, du Cambodge, de l'Inde et du Canada. La présente étude révèle plusieurs méthodes de déguisement qui ne furent pas mentionnées dans l'étude de 1988. Il y a également des accords et des variations entre les deux études concernant la fréquence d'utilisation de certaines caractéristiques déguisées. La présente étude confirme l'étude précédente en ce qui a trait à la simplicité et au manque d'originalité de l'écriture chinoise déguisée. Les caractéristiques se rapportant à l'aspect pictural de l'écriture et les traits faciles à altérer sont plus susceptibles d'être modifiés lorsque l'on considère les déguisements.