Abstract
Since the invention of holography by Dennis Gabor (c. 1948) and the invention of the laser in 1960, the field of display holography has seen great advances. The early promise of the modern work in the early 1960s was clearly blocked by a lack of understanding of basic photographic science. More recent work based on a better understanding of photographic chemistry has at least revealed many of the obvious problem areas. This paper seeks to outline the important holographic imagery regimes, to offer an understanding of how each depends on specific photographic manipulative methods as far as chemistry is concerned, and how they interrelate with the special photographic materials in the recording process.
Résumé
Depuis l’invention de l’holographie (aux environs de 1948) et l’invention du laser en 1960, les connaissances concernant l’holographie se sont considérablement étendues. Les premières promesses d’un travail moderne, au début des années 60, ont été gênées par l’insuffisance de la science photographique de base. Les études plus récentes, basées sur une meilleure compréhension de la chimie photographique, ont enfin éclairci la plupart des domaines où se posaient des problèmes cruciaux. Ce mémoire esquisse les principaux procédés de formation d’une image par holographie, explique comment chacun d’eux, du point de vue chimique, dépend de manipulations photographiques spécifiques et montre comment ces procédés sont liés, dans le processus de l’enregistrement, aux matériaux photographiques afférents.