Abstract
A system of 10 agar plate tests allowed presumptive identification of Candida albicans and differentiation of up to 512 strain types within the species. The yeast isolates were tested for acid and salt tolerance, proteinase production, resistance to 5-fluorocytosine and safranine, and assimilation of urea, sorbose, citrate and glycine. Media were inoculated semiquantitatively with a multiple-pronged device so that 55 yeasts and 5 reference strains could be printed on each plate at once. The results for the 9 strain differentiation tests were arranged in 3 groups to allow simple designation of types by 3-digit numbers. Mouth and vaginal samples from 85 patients and healthy volunteers yielded 45 different strain types, of which types 153, 157 and 357 were the most prevalent. The reproducibility of the system was good, if attention was paid to the precision with which the media were prepared and inoculated. The effect of test variables, including incubation temperature, medium pH and inoculum size, was assessed. Work is presently in progress to extend the system for presumptive identification of other clinically important Candida spp. and differentiation of their strain types.
Résumé
Une méthode comprenant 10 boîtes de gélose est décrite; elle permet une identification présumé de Candida albicans ainsi que la différentiation de 512 souches types à l'intérieur des espèces. Les souches de levures sont éprouvées pour leur tolérance saline et acide, la production de protéinase, la résistance à la 5-fluorocytosine et à la safranine d'une part et pour l'assimilation d'urée, de sorbose, de citrate et de glycocolle d'autre part. Les milieux sont ensemencés semi-quantiativement avec un appareil multidistributeur de facon telle que 55 sortes de levures et 5 souches de référence puissent être déposées sur chaque boite à la fois. Les résultats des 9 essais, appliqués à la différentiation des souches, sont répartis en 3 groupes afin de permettre une désignation simple de chaque type par 3 chiffres.
Les échantillons buccaux et vaginaux de 85 malades et volontaires sains appartiennent à 45 types de souches différents parmi lesquels les types 153, 157 et 357 sont les plus courants. La reproductibilité de la méthode est bonne, pourvu que les milieux soient préparés et ensemencés avec grande précision. L'influence de variables telles que la température d'incubation, le pH du milieu, la taille del'inoculum et la qualité de la gélose est précisée. Le travail se poursuit afin d'étendre cette méthode à lidentification d'autres Candida spp. cliniquement importants et à la différentiation de leurs soches types.