Abstract
Des expériences ont été effectuées sur des alliages Al-Zn contenant des zones de Guinier-Preston (G.P.) (1 à 2 × 1018 précipités/cm3) afin d'observer l'influence do l'effet d'interférence interprécipité sur la résistivité électrique. Il a pu ainsi être montré d'une part que cette influence était négligeable, d'autre part qu'un modèle isotrope expliquait mieux les résultats expérimentaux.