The pathogenicity of some avian reoviruses with particular reference to tenosynovitis

Summary

In two experiments, 13 avian reoviruses from different sources were tested in specific pathogen‐free (SPF) light hybrid chicks at 1‐day‐old for their pathogenicity with particular respect to tenosynovitis. All strains including two from commercial ducks and another from a wedge‐tail eagle caused tenosynovitis. In most cases the lesions were macroscopic but in a few only microscopic abnormalities were observed after footpad or oral inoculation. In the first experiment with six British strains, infection by contact also resulted in tenosynovitis, and in most cases virus persisted longer in the hock joint/tendons than in the gut. Among the 13 viruses, two strains, R14 and Lasswade 126/75 were the mildest, producing only slight microscopic lesions of the disease, while strain WVU 2937 was the most virulent for joints/tendons.

Five strains caused mortalities when inoculated at high concentration, deaths being due to hepatic necrosis. However, infection at a 1:10 dilution of this dose resulted in tenosynovitis lesions only.

None of the strains tested caused signs of stunting or malabsorption syndromes.

Resume

Au cours de deux expériences 13 réovirus aviaires provenant de différentes sources ont été testés chez des poussins d'un jour de souche légère hybride, indemnes d'organismes pathogènes spécifiques (SPF), en vue de préciser leur pouvoir pathogène notamment en ce qui concerne l'apparition de ténosynovite. Toutes les souches, incluant deux provenant de canards de type commercial et une autre d'un aigle à queue cunéîforme ont entraîné des lésions de ténosynovite. Dans la plupart des cas, les lésions étaient de nature macroscopique mais quelquefois il n'a été observé que des anomalies microscopiques lors d'inoculation dans le coussinet plantaire ou administration par voie orale. Dans la première expérience réalisée sur six souches de Grande Bretagne, l'infection par contact a eu pour résultat l'apparition de ténosynovite, et dans la plupart des cas le virus a persisté plus longtemps au niveau des tendons et de l'articulation tibio‐tarsienne que dans l'intestin. Parmi les 13 virus, deux souches, R14 et Lasswade 126/75 ont été les moins pathogènes, entraînant seulement des lésions microscopiques légères alors que la souche WVU 2937 a été la plus virulente pour les tendons et articulations.

Cinq souches ont entraîné des mortalités quand elles ont été inoculées à haute dose, la mort étant due à une nécrose hépatique. Cependant, lors d'infection à une dose 10 fois moindre il n'en est résulté que des lésions de ténosynovite.

Acune des souches étudiée n'a entraîné des signes des syndromes de rabougrisse‐ment ou de malabsorption.

Zusammenfassung

In 2 Versuchen wurde die Pathogenität von 13 aviären Reoviren verschiedener Herkunft in einen Tag alten spezifischpathogenfreien (SPF) leichten Hybridküken insbesondere im Hinblick auf Tenosynovitis geprüft. Alle Stämme inklusive zwei aus kommerziellen Enten und einem anderen aus einem Keilschwanzadler verursachten eine Tenosynovitis. In den meisten Fällen nach einer oralen oder via Fuβsohle erfol‐ten Inokulation wurden makroskopische, aber einigemale auch nur mikroskopische Veränderungen beobachtet. Im ersten Versuch mit sechs britischen Stämmen trat die Tenosynovitis auch nach Kontaktinfektion auf. In den meisten Fällen persis‐tierte das Virus länger in Sprunggelenken/Sehnen als im Darm. Von den 13 Viren erwiesen sich zwei Stämme R 14 und Lasswade 126/75 als die mildesten, die nur leichte mikroskopische Veränderungen verursachten, während Stamm WVU 2937 für Sehnen und Gelenke am virulentesten war.

Fünf Stämme erzeugten bei Inokulation in höherer Konzentration Todesfälle infolge Lebernekrosen. Doch bewirkte eine Infektion mit dem gleichen Stamm in 1 : 10 Verdünnung nur eine Tenosynovitis.

Keiner der geprüften Stämme verursachte Erscheinungen des Stunting‐oder Mal‐absorptionssyndroms.