Abstract
La guerre et l'occupation ont gravement raienti, mais non paralyse l'activité des linguistes français. Nos études ont subi une grave perte en décembre 1940 par suite du décès de Mme M. L. Sjoestedt. Plusieurs linguistes, mobilisés, ont été faits prisonniers. D'autres, menacés personnellement, ont passé dans la clandestinité des années qui n'étaient guère favorables à la recherche. La Société de Linguistique a dû suspendre ses réunions et, a partir de 1941, ses publications. Néanmoins d'assez nombreuses publications ont vu le jour et d'autrcs, préparées pendant ces années et retardées par les ciroonstanccs, commencent de paraître.