Abstract
The pecuniary and non-pecuniary social costs of flooding are analyzed, and are illustrated with results from a simple macroeconomic model calibrated to have damage and other characteristics similar to those observed in recent Canadian flooding. Pecuniary costs include relief and cleanup, capital damage and net output loss. Net output loss tends to rise in relative importance with the length of recovery and, as a result, also increases with capital damage if it causes recovery to take longer. Capital damage is larger than output loss here, as in previous studies. Distributional and insurance aspects are also examined. Reliance on federal disaster assistance creates moral hazard both for individuals and lower levels of government. Wider private insurance coverage and the introduction of a significant premium for public flood insurance are recommended.
Les coûts sociaux pécuniaires et non pécuniaires des inondations sont analysés et sont illustrés à l’aide de résultats tirés d’un modèle macroéconomique simple étalonné en fonction des dommages et autres caractéristiques semblables à ceux observés lors des inondations canadiennes récentes. Les coûts financiers comprennent les secours aux sinistrés et le nettoyage, les dommages en capital et les pertes de production nette. Les pertes de production nette ont tendance à augmenter suivant une importance relative à la durée du rétablissement et, par conséquent, augmentent également en fonction des dommages s’il s’avère que le rétablissement dure plus longtemps. Les dommages en capital sont plus grands que les pertes de production en l’occurrence, comme dans les études précédentes. Les aspects de la répartition et de l’assurance sont également examinés. La dépendance envers les programmes fédéraux d’aide aux sinistrés crée un risque moral à la fois pour les particuliers et pour les paliers inférieurs de gouvernement. Des assurances privées à plus vaste échelle, de même que l’adoption d’une prime importante pour l’assurance publique contre les inondations, sont recommandées.
Acknowledgements
I am grateful for valuable comments from an associate editor and three referees. This research was conducted as part of the Coastal Cities at Risk (CCaR) project which is supported by the Social Sciences and Humanities Research Council of Canada, the Natural Sciences and Engineering Research Council of Canada, the Canadian Institutes for Health Research and the International Development Research Council under the International Research Initiative on Adaptation to Climate Change (IRIACC). I extend thanks to the many CCaR researchers who have provided help and encouragement.