Abstract
This essay briefly chronicles a history of using binaries and disability/marginalized groups to stigmatize and disenfranchise, a practice that continues today. The time has come to change narratives about persons with disability by exposing the cause of most disabilities – society. Several authors maintain that disability is the human trait that should unify instead of separate. Strategies for changing the narrative are suggested, with particular reference to social construction theory and the role of inclusive leisure in reconstructing the meaning of disability. An argument for inclusion is discussed based on contact theory and the belongingness hypothesis. The institution of leisure has the responsibility to ensure full and equitable participation for persons with disabilities and inclusion for all.
Cet essai relate brièvement l’utilisation des binaires et des groupes handicapés/marginalisés pour stigmatiser, une pratique qui se poursuit aujourd’hui. Le moment est venu de changer les récits sur les personnes handicapées en exposant la cause de la plupart des handicaps – la société. Plusieurs auteurs soutiennent que le handicap est le trait humain qui devrait unifier au lieu de séparer. Des stratégies pour changer le récit sont suggérées, avec une référence particulière à la théorie de la construction sociale et au rôle des loisirs inclusifs dans la reconstruction du sens du handicap. Un argument en faveur de l’inclusion est discuté sur la base de la théorie des contacts et de l’hypothèse de l’appartenance. L’institution des loisirs a la responsabilité d’assurer une participation pleine et équitable aux personnes handicapées et l’inclusion pour tous.
Disclosure statement
No potential conflict of interest was reported by the authors.