Abstract
The accuracy of temperature and precipitation forecasts for Toronto was studied for the 20‐year period 1960–1979. Since any archive of official forecasts extends for only a small part of this period, it was necessary to retrieve the forecasts from newspaper records. The possible errors involved in such a data source were examined through a comparison of newspaper reported observations and the official record. On only a few occasions were significant differences observed.
For temperature forecasts, the record indicates a significant loss of skill over the 20‐year periodin the prediction of maximum temperature for the first day. This was observed not only for the Bloor Street observing station for which the entire 20‐year record was analysed, but also for observing stations at Toronto Island, Downsview and Malton. The loss of skill over the years is greatest in winter when temperature is consistently predicted too low at all stations.
For the entire period under study, precipitation forecasts consisted only of words and no quantitative information (such as probability of precipitation forecasts) was issued. Word choice is intended to carry information on the duration and expected spatial coverage of precipitation, but substantial inconsistencies between word choice and subsequent precipitation occurrence were found. Consequently, the verification procedure for these forecasts was very simple and ignored any differences implied in word choice. With this technique precipitation forecasts were shown to have improved over the 20‐year period.
Résumé
On étudie l'exactitude des prévisions de la température et précipitation pour Toronto pour les deux décennies s'étendant de 1960 à 1979. Etant donné que les prévisions dans les archives ne couvrent qu'une période relativement restreinte, on a dû avoir recours aux prévisions publiées dans les journaux. Les sources possibles d'erreur d'une telle source de données ont été étudiées en faisant la comparaison entre les prévisions publiées par les journaux et celles émises officiellement. On ne trouve que quelques occasions où de différences significatives sont notées.
Les données révèlent une dégradation considérable au cours des 20 ans dans la dextérité à prévoir les températures maximales pour le premier jour. Ceci n'était non seulement vrai pour la station de la rue Bloor pour laquelle la période de 20 ans a été analysée mais aussi pour les stations de l'île de Toronto, de Downsview et de Malton. La dégradation dans la dextérité à prévoir était la plus grande au cours de l'hiver, période au cours de laquelle les températures prévues étaient systématiquement plus basses à toutes les stations.
Au cours de toute la période étudiée, les prévisions de précipitation consistaient de mots et ne donnaient aucune indication quantitative (tel que la prévision de la précipitation en fonction de la probabilité). Le choix des mots avait pour but de décrire la durée et l'étendue superficielle de la précipitation, on a découvert cependant un désaccord considérable entre le choix des mots et la précipitation subséquente. Par conséquent le procédé de vérification de ces prévisions était très simple et ignorait toute nuance suggérée par le choix des termes. On découvre à l'aide de cette approche qu'une amélioration existait dans les prévisions de la précipitation au cours des deux décennies en question.
Notes
Present Affiliation: INTERA Environmental Consultants Ltd, Calgary, ALTA.