Abstract
The precipitation chemistry stations operating in the Atlantic Provinces during the period 1980–1982 were assessed by comparing their siting characteristics and sampling procedures with the criteria recommended by the Canadian Federal‐Provincial Research and Monitoring Coordinating Committee (RMCC). The data collected at these stations were also evaluated according to standards recommended by the Unified Deposition Data Base Committee.
Only one quarter of the 32 stations satisfied all of these criteria. In addition, there is evidence to suggest that some of the laboratories experienced problems analysing for nitrate or pH. Therefore, producing a coherent region‐wide data set for the major ions in precipitation was not feasible. However, the qualifying measurements were adequate to indicate an excess sulphate deposition of slightly less than 20 kg ha−1 a−1 to most of the region, with less than 10 kg ha−1 a−1 to Labrador.
Although this analysis was restricted to the monitoring in Atlantic Canada, the results are of broader relevance in illustrating the potential problems inherent in merging data from several networks.
Résumé
On a évalué l'état des stations en fonctionnement, du réseau de la chimie des précipitations dans les provinces de l'Atlantique au cours de la période de 1980–1982, en comparant les caractéristiques de leurs sites et les procédures relatives à V échantillonage de chaque station, aux critères recommandés par le comité mixte fédéral‐provincial canadien sur la coordination de la recherche et la surveillance. Les données prélevées à ces stations ont été examinées en fonction des standards recommandés par le comité suri’ uniformité de la base des données sur le dépôt.
Des 32 stations, seulement un quart a satisfait tous les critères. D'autant plus, il existe des indications suggérant que certains laboratoires éprouvent de la difficulté dans l'analyse des nitrates et du pH. Par conséquent, la création d'une banque de données cohérente, à l'échelle régionale, sur les ions principaux des précipitations, n'était pas faisable. Les mesures qui ont satisfait les tests révèlent un excès dans les dépôts de sulphate qui ont atteint un peu moins de 20 kg ha−1 a−1 dans la totalité presque de la région, et moins de 10 kg ha−1 a−1 au Labrador.
Quoique cette analyse ait été limitée au réseau de surveillance des provinces de l'Atlantique, la portée de ses résultats est considérable car elles illustrent les difficultées latentes, inhérentes à l'amalgamation de données en provenance de différents réseaux.
Notes
Present affiliation: International Institute for Applied Systems Analysis, A‐2361, Laxenburg, Austria.