Abstract
Cloud amount records for the Canadian mid‐latitudes have been analysed in the context of a “warming world” analogue model that compares records of two 20‐year periods. The cloud amounts increase over practically all these regions while temperatures rise. This historical data set has also been extended temporally to permit analysis of high‐latitude cloudiness trends. These are of particular interest in the “fingerprinting” of CO2‐induced climatic change. Station records from the Canadian Arctic show distinctive increases in total cloud amount in the last forty years especially in the summer season. This result, unlike the historical analogue analysis, seems to be decoupled from temperature changes.
Résumé
Les statistiques canadiennes de la nébulosité aux latitudes moyennes ont été analysées dans le contexte d'un modèle analogue “d'un monde en réchauffement” qui compare les données de deux périodes de 20 années. La nébulosité augmente presque dans toute les régions avec la hausse des températures. L'ensemble de données historiques a aussi été étendu dans le temps pour permettre l'analyse des tendances de la nébulosité à hautes latitudes; ces tendances sont intéressantes car elles permettent de “marquer” le changement climatique dû au CO2. Les statistiques des stations arctiques montrent une nette augmentation de la nébulosité totale dans les 40 dernières années, spécialement pendant la saison estivale. Ce résultat, contrairement à l'analyse analogue historique, semble être découplé des changements de températures.
Notes
Present affiliation: Department of Applied Physics, University of Technology, Sydney, P.O. Box 123, Broadway, New South Wales 2007, Australia.
Present affiliation: School of Earth Sciences, Macquarie University, North Ryde, New South Wales 2109, Australia.