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Disease control/Moyens de lutte

Evaluation of disease management approaches for powdery mildew on Cannabis sativa L. (marijuana) plants

&
Pages 394-412 | Accepted 08 Oct 2020, Published online: 03 Dec 2020
 

Abstract

Powdery mildew on cannabis (Cannabis sativa L., marijuana), caused by Golovinomyces cichoracearum, reduces plant growth and overall quality. To investigate disease management options, biological, chemical and physical approaches were assessed. A mildew-susceptible strain, ‘Copenhagen Kush’, was grown indoors with continual exposure to mildew inoculum. Treatments were applied weekly over a four-week period to groups of four plants once mildew infection had established itself. Trials were repeated thrice under varying initial disease pressures. Disease assessments were made weekly and the percentage of area infected on 30 leaflets per plant was used to calculate a disease rating score for treated and control plants. Disease progress curves were plotted and AUDPC values were determined for each treatment. To test the effect of UV-C light on mildew development, plants were exposed daily for 3–5 s over 28 days to UV-C light. The response of 12 cannabis strains to powdery mildew infection was assessed after exposing them to inoculum over a period of two weeks. The most effective treatments that significantly (P < 0.05) reduced disease in three trials were Luna Privilege SC (fluopyram), Regalia® Maxx, MilStop®, Rhapsody ASOTM, neem oil, and Stargus®. Treatments that were less effective included ZeroTol®, boric acid, and Actinovate® SP. Daily exposure of plants to UV-C light significantly reduced disease (by 45.2%, P < 0.05). Seven of 12 cannabis strains had significantly lower disease severity compared with the other five strains. The disease management strategies evaluated in this study have potential for reducing powdery mildew development on cannabis.

Résumé

Sur le cannabis (Cannabis sativa L., marijuana), l’oïdium, causé par Golovinomyces cichoracearum, réduit la croissance et altère la qualité des plants. Afin d’étudier la gestion de la maladie, des approches biologiques, chimiques et physiques ont été évaluées. Une souche sensible à l’oïdium, ‘Copenhagen Kush’, a été cultivée à l’intérieur et exposée continuellement à l’inoculum de l’oïdium. Des traitements ont été appliqués hebdomadairement pendant quatre semaines à des groupes de quatre plants à partir du moment où l’infection est survenue. Les essais ont été répétés trois fois sous différentes pressions initiales de la maladie. Cette dernière a été évaluée toutes les semaines et le pourcentage de surface foliaire infectée de 30 folioles par plant a été utilisé pour calculer une cote de classement de la maladie pour les plants traités et les plans témoins. Des courbes d’évolution de la maladie ont été tracées et les valeurs de l’AUDPC ont été déterminées pour chaque traitement. Pour tester l’effet des rayons UV-C sur l’évolution de l’oïdium, les plants y ont été exposés quotidiennement pendant 3 à 5 s pendant 28 jours. La réaction de 12 souches de cannabis à l’oïdium a été évaluée après les avoir exposées à l’inoculum pendant deux semaines. Les traitements qui ont le plus efficacement (P > 0,05) réduit l’incidence de la maladie au cours de trois essais étaient Luna Privilege SC (fluopyrame), Regalia Maxx, MilStop, Rhapsody ASO, l’huile de margousier et Stargus. Les traitements qui étaient moins efficaces incluaient ZeroTol, l’acide borique et Actinovate SP. L’exposition quotidienne des plants aux rayons UV-C a également réduit significativement l’incidence de la maladie (de 45,2%, P < 0,05). Sept des douze souches de cannabis affichaient une plus faible gravité de la maladie comparativement aux cinq autres souches. Les stratégies de gestion de la maladie évaluées au cours de cette étude peuvent réduire l’évolution de l’oïdium sur le cannabis.

Acknowledgements

We thank S. Lung, L. Ni, and D. Sutton for providing assistance.

Additional information

Funding

Funding was provided through a Collaborative Research and Development (CRD) Grant and an Engage grant from the Natural Sciences and Engineering Research Council of Canada (NSERC).Additional funding was provided by the B.C. Ministry of Agriculture/Agriculture and Agri-Food Canada through the Canadian Agricultural Partnership (CAP) Program Project No. URACP 19-212