Abstract
This paper reports on a case study of two teachers teaching reading in the child's first year of school. The researcher analysed the largely spontaneous, literacy related responses made by teachers to children and the comments these teachers made about their thoughts and actions in interviews after the teaching sessions. Very little direct teaching was observed and teachers seemed to be reacting more often than working in a proactive way. This has been termed ‘crisis management’ by some, but it is argued here that this ‘reaction’ was, in reality, purposeful interaction.
These teachers worked at building bridges between children's experience and their literacy learning. Analysis of the interactions suggested ways in which teachers may adopt procedures that go some way towards compensating for the differences between home and school learning. The writer argues that demands for an organisational structure that reduces individualisation could be counter‐productive for the youngest children in school.
Résumé
L'etude rapportee ici est une etude de cas de deux professeurs qui enseignent la lecture aux enfants dans leur première année a l'école. Les réponses, de la plus part spontanées, données par ces professeurs aux enfants et ce que ces professeurs ont dit de ses pensées et ces actions après les visites chez leurs classes ont ete analysées. Très peu d'enseignement direct a été observe et il parait que ces professeurs réagissaient plutôt que travaillaient proactivement. Ceci a été décrit comme ‘administration en crise’ mais on allegue ici que cette reaction était, en réalité, de l'interaction déterminée.
Ces professeurs travaillaient a construire des ponts entre les experiences des enfants et leur etude de l'alphabetisation. L'analyse de ces interactions propose des façons dans lesquelles professeurs peuvent adopter des procedures qui commencent a compenser les differences entre l'étude a l'école et en famille. On allegue ici que les exigences des gens qui veulent une structure qui réduit l'individualisation peuvent être contre‐productive pour les enfants les plus jeunes a l'école.
Resumen
Este estudio es un estudio de caso de dos profesoras que enseñan la lectura a los ninos en su primer año a la escuela. Las repuestas espontáneas que estas profesoras han hecho a los ninos sobre la lectura y el comentario de estas profesoras sobre sus pensamientos y sus acctones despues de las visitas en sus clases han sido analizado. Poco de enseñanza direta ha sido observado y parece que estas profesoras reaccionaban más bien que trabajaban proactivamente. Eso ha sido descrito como ‘administracion en crisis’, pero se propone aqui que esta reacción estaba, en realidad, interacción intencional.
Estas profesoras trabajan a construir puentes entre la experiencia de estos alumnos y su saber a leer. Análisis de los interacciones propone modos en que profesores pueden adoptar procedemientos que compensen para los differencias entre el saber en la escuela y en la casa. Se propone aqui que las demandas para une estructura de enseñar que reduce la individual‐ización puede ser contra‐productiva para los alumnos mas jovenes en la escuela.