Abstract
Southeastern Anatolia represents an agricultural area deeply fractured with the valleys extending in front of Taurus Mountains, consisting of calcareous plateaus of 500–600 m. An extremely extensive steppe vegetation is dominant in southeastern Anatolia. The region is entirely within natural forest borders and there are only a few large steppe areas in this area. The most important factor which caused formation of southeastern Anatolian steppes is severe summer and autumn drought. Forest vegetation in the area has been destroyed to a great extent by several factors (clear-cutting, fuel supply, etc.), most of which are anthropogenic impacts. The survey area, Germuş Mountain (Şanliurfa), exists in the warmer Mesopotamian sector. Four associations belonging to the steppe vegetation (Phlomidetum kurdico—bruguieri, Scrophulario xylorrhizae—Astragaletum diphtheritae, Salvio palaestinae—Convolvuletum oxysepali and Torilido leptocarpae—Thymbretum spicatae) have been detected as a result of the phytosociological research conducted at Germuş Mountain. These syntaxa are new for science.
Résumé
L'Anatolie du sud représente une zone agricole profondément fracturée avec les vallées s'étendant au pied du Taurus, composé de plateaux calcaires de 500–600 m. Une très vaste steppe domine dans le sud—est de l'Anatolie. La région est entièrement à l'intérieur des frontières de forêts naturelles et il n'y a que quelques grandes zones de steppe dans ce domaine. Le facteur le plus important qui a entraîné la formation de ces steppes est l'été et de sévères sécheresses automnales. La végétation forestière y a été détruite en grande partie par la coupe à blanc, l'approvisionnement en carburant, etc, d'origine anthropique. La zone d'étude, le mont Germuş (Şanliurfa), appantient au secteur chaud de Mésopotamie. Quatre associations steppiques (Phlomidetum kurdico—bruguieri, Scrophulario xylorrhizae—Astragaletum diphtheritae, Salvio palaestinae—Convolvuletum oxysepali et Torilido leptocarpae—Thymbretum spicatae) ont été identifieé à la suite des recherches menées. Ces syntaxons sont nouveaux pour la science.