Publication Cover
Culture, Health & Sexuality
An International Journal for Research, Intervention and Care
Volume 17, 2015 - Issue 7
202
Views
5
CrossRef citations to date
0
Altmetric
Articles

‘Men don't need to know everything’: a field trial of a discreet, female-initiated, contraceptive barrier method (FemCap™) among Haitian-American women

, , , , , , , & show all
Pages 842-858 | Received 02 Aug 2014, Accepted 06 Jan 2015, Published online: 23 Feb 2015
 

Abstract

Worldwide, women report the need for safe, non-hormonal, woman-initiated methods of family planning. Cervical barriers provide such technology but are under-researched and under-promoted. In the USA, there are few studies of cervical barriers among women at high unmet need for contraception. A feasibility study of the FemCap™ was conducted among US women of Haitian origin. Participants were heterosexual and seeking to avoid pregnancy. At first visit, participants completed baseline assessments, underwent group counselling and were fitted with FemCap™. Women were asked to insert or use the cap at home. The second visit (2–3 weeks) included an interviewer-administered questionnaire and a focus-group discussion. Participants (n  =  20) were Haitian-born (70%), married (55%) and parous (85%). Their mean age was 32.6 years. Seventy percent reported recent unprotected sex. All women inserted the device at home and 9 women used it during intercourse, including 5 without prior partner negotiation. Of 20 women, 11 liked FemCap™ very much or somewhat; 7 considered it ‘OK’; 2 disliked it. Best-liked attributes were comfort, discreet wear and reusability. Difficulties with removal abated over time. Qualitative data revealed a high value placed on lack of systemic side effects. Use of FemCap™ was feasible and acceptable, supporting expansion of research, particularly among relevant populations with unmet need.

En todo el mundo, las mujeres informan que es necesario que se introduzcan métodos seguros no hormonales de planificación familiar que ellas mismas puedan iniciar. El capuchón cervical es un método anticonceptivo que cumple con estos requisitos pero que no está lo suficientemente investigado ni promocionado. En los Estados Unidos hay pocos estudios sobre las barreras cervicales en mujeres con una gran necesidad insatisfecha de anticonceptivos. Y en este país se llevó a cabo un estudio de viabilidad del FemCap™ entre mujeres de origen haitiano. Las participantes eran heterosexuales que querían evitar quedarse embarazadas. En la primera visita, las participantes completaron evaluaciones preliminares, participaron en un asesoramiento en grupo y se les introdujo el capuchón cervical FemCap™. Se pidió a las mujeres que se insertasen o utilizasen el diafragma en casa. En la segunda visita (a las 2 o 3 semanas) se incluyó un cuestionario rellenado por el entrevistador y una charla en grupo. Las participantes (n = 20) habían nacido en Haití (70%), estaban casadas (55%), y ya habían tenido hijos (85%). Su edad media era 32,6 años.

Dos terceras partes informaron haber tenido relaciones recientes sin protección. Todas las mujeres se insertaron el diafragma en casa; 9 mujeres lo utilizaron durante las relaciones sexuales, incluyendo 5 que no lo habían negociado antes con la pareja. A once de las veinte mujeres les gustó FemCap™ mucho o bastante; siete lo consideraron aceptable; y a dos de ellas no les gustó. Indicaron que sus ventajas eran sobre todo la comodidad, la discreción de uso y el hecho de poder reutilizarlo. Las dificultades a la hora de quitárselo se reducían con el paso del tiempo. Los datos cualitativos indicaron que las entrevistadas daban gran importancia a la ausencia de efectos secundarios sistémicos. El uso de FemCap™ era factible y aceptable, lo que sugiere que sería útil ampliar la investigación, en particular entre la población con necesidades no cubiertas.

À travers le monde, les femmes expriment la nécessité de disposer de méthodes sûres de planification familiale qui soient non-hormonales et utilisables à leur propre initiative. Si les barrières cervicales correspondent à ces critères, elles font l'objet de trop peu de recherches ou d'une promotion peu soutenue. Aux États-Unis, la recherche s'intéresse peu à l'utilisation des barrières cervicales par les femmes qui ont grandement besoin de méthodes de contraception. Une étude de faisabilité sur le FemCap™ a été conduite parmi des femmes américaines d'origine haïtienne, hétérosexuelles et voulant éviter de tomber enceintes. Lors de la première visite, les participantes se sont soumises à une évaluation initiale, ont reçu des conseils en groupe, ainsi que le FemCap™. Il leur a été demandé de procéder à l'insertion du FemCap™ ou de l'utiliser seulement à leur domicile. Deux à trois semaines plus tard, à la deuxième visite, ces femmes ont rempli un nouveau questionnaire et participé à un groupe de discussion thématique. Elles (n  =  20) étaient nées en Haïti (70%), mariées (55%) et pares (85%). Leur âge moyen était de 32,6 ans.

Deux tiers d'entre elles ont déclaré avoir eu des rapports sexuels non protégés récemment. Toutes ont procédé à l'insertion du dispositif à leur domicile; 9 l'ont utilisé lors des rapports sexuels, dont 5 qui ne l'ont pas négocié préalablement. Onze femmes sur 20 ont déclaré qu'elles aimaient beaucoup ou moyennement le FemCap™; 7 le considéraient « O.K »; deux ne l'aimaient pas. Les attributs les plus appréciés du FemCap™ étaient le confort, la discrétion et la possibilité de le réutiliser. Les difficultés à le retirer se sont atténuées au fil du temps. Les données qualitatives ont révélé qu'une grande valeur était accordée à l'absence d'effets secondaires systémiques. L'usage du FemCap™ s'est révélé faisable et acceptable, et ces résultats plaident pour un élargissement de la recherche, en particulier parmi les populations dont les besoins en méthodes de contraception ne sont pas satisfaits.

Disclosure statement

No potential conflict of interest was reported by the authors.

Notes

1. A. Shihata, personal communication, November 22, 2014.

2. See http://FemCap.com/

3. See http://www.thebody.com/content/69404/girls-become-the-voice-of-sex-education-in-haiti.html for further details.

Reprints and Corporate Permissions

Please note: Selecting permissions does not provide access to the full text of the article, please see our help page How do I view content?

To request a reprint or corporate permissions for this article, please click on the relevant link below:

Academic Permissions

Please note: Selecting permissions does not provide access to the full text of the article, please see our help page How do I view content?

Obtain permissions instantly via Rightslink by clicking on the button below:

If you are unable to obtain permissions via Rightslink, please complete and submit this Permissions form. For more information, please visit our Permissions help page.