Abstract
For some decades now, human geography has sought to engage with the narratives of those deemed least powerful in society. This interest in the experiences of those who have traditionally been sidelined from political agendas has been part of move towards an increasingly critical approach to the social sciences, and ultimately as a way of using the academy as a tool for social justice. Researching the experiences of socially, politically and economically marginalised groups of people, is no longer a new endeavour. What is new, however, is the rapidity in the growth of interest of researchers seeking to engage with these populations, and the variety of the toolkit of methods, for research and analysis, available to support this engagement. Whilst this special edition seeks to draw out and explore a variety of novel approaches to research methods and practice, the particularly unique contribution presented by this publication is a candid exploration of the ethical challenges of engaging with populations identified as ‘vulnerable’ as expressed through the discussion of first-hand fieldwork experience.
RÉSUMÉ
Il y a maintenant quelques dizaines d’années que la géographie humaine tâche de s’intéresser aux discours de ceux qui sont considérés comme ayant le moins de pouvoir dans la société. Cet intérêt pour les expériences de ceux qui ont été traditionnellement écartés des projets politiques fait partie d’un mouvement vers une approche de plus en plus critique des sciences sociales et en fin de compte est une façon d’utiliser la recherche universitaire comme outil de justice sociale. Faire de la recherche sur les expériences de groupes de personnes marginalisées socialement, politiquement et économiquement n’est plus une démarche nouvelle. Ce qui est nouveau cependant, c’est la rapidité de l’augmentation de l’intérêt des chercheurs qui désirent entrer en contact avec ces populations et de la variété de la panoplie des méthodes, pour la recherche et l’analyse, disponible pour soutenir cet engagement. Cette édition spéciale cherche à mettre en lumière et explorer une variété d’approches nouvelles pour rechercher les méthodes et les pratiques et la contribution particulièrement exceptionnelle présentée dans cette publication est une exploration candide des défis éthiques de la mise en contact avec les populations identifiées comme « vulnérables » telles qu’elles sont articulées à travers la discussion de l’expérience à chaud sur le terrain.
RESUMEN
Desde hace algunas décadas, la geografía humana ha tratado de comprometerse con las narrativas de aquellos que se consideran menos poderosos en la sociedad. Este interés en las experiencias de aquellos que tradicionalmente han estado al margen en las agendas políticas ha sido parte del movimiento hacia un enfoque cada vez más crítico a las ciencias sociales y, en última instancia, como una forma de usar la academia como un instrumento para la justicia social. La investigación de las experiencias de los grupos de gente social, política y económicamente marginados, ya no supone un nuevo esfuerzo. Lo que es nuevo, sin embargo, es la rapidez en el crecimiento del interés de los investigadores que buscan involucrarse con estas poblaciones, y la variedad del conjunto de herramientas de métodos, para la investigación y el análisis, disponibles para apoyar este compromiso. Si bien esta edición especial pretende extraer y explorar una variedad de enfoques novedosos de los métodos y la práctica de la investigación, la contribución particularmente singular que presenta esta publicación es una franca exploración de los desafíos éticos al involucrarse con poblaciones identificadas como ‘vulnerables’, como se expresa a través de la discusión de la experiencia de campo de primera mano.
Palabras clave:
Notes
* This Special Issue is based on the concept of a paper session at the Royal Geographical Society Annual Conference 2011 entitled: ‘Doing Geography with Vulnerable People: Research, Methods and Practice’.