Abstract
Leisure services are often seen as a potential source for creating social capital. However, systemic impediments (e.g., racism) must be taken into account. A community‐based study on race relations in a Canadian city is applied to leisure services, and considered in light of a social capital perspective. The study shows that racism must be addressed for social capital, and social cohesion, to be fostered. Suggestions are made for leisure professionals to be engaged in critical analysis of such impediments and social structures that may maintain marginalization. In contrast to other conceptualizations, Bourdieu's version of social capital—mediated by symbolic violence such that marginalized people's resources are unrecognized—is suggested as more useful for community development through leisure services.
Résume
Les services de loisir sont souvent vus comme une source potentielle pour créer le capital social. Cependant, des obstacles systémiques (par exemple, le racisme) doivent être tenu compte. Une étude basée dans la communauté sur les relations raciales dans une ville Canadienne est appliquée aux services de loisir, et considérée avec l'éclaircissement d'une perspective du capital social. Cette étude démontre que le racisme doit être adressé pour soutenir le capital social, et la cohésion sociale. Des suggestions sont offertes pour que les professionnels du loisir s'engagent dans l'analyse critique de ces obstacles et structures sociales qui pourraient maintenir la marginalisation. En opposition aux autres conceptualisations, la version Bourdieu du capital social— médié par la violence symbolique tel que la méconnaissance des ressources de personnes marginalisées — est suggérée comme étant plus utile pour le développement communautaire pour les services de loisir.