Abstract
Although stories of mythological vampires in the media (i.e., books, movies, television) have captivated audiences for years, there exist a large number of contemporary human vampires within an active underground subculture sometimes referred to as the Sanguinarium. This paper describes vastly different types of human vampires and includes an autoethnographic approach to help understand complexities of this form of deviance. Although vampirism generally is considered deviant and may be roughly divided into different types, such deviance calls into question what typically is considered “normal” in many ways. Real vampires are often perceived as psychopathological and perhaps criminal compared to normal members of society. Such perceptions and descriptions are not necessarily valid, but remain social constructions that are situated within broader cultural discourses and interpretations. Upon closer examination, many self‐identified vampires and their rituals and practices can be understood as artistic, expressive, and rather normal and healthy.
Résumé
Bien que les histoires des vampires mythologiques diffusés par les médias (c.‐à‐d., livres, films, télévision) ont captivé plusieurs audiences pendant des années, il existe un grand nombre de vampires humains actifs et contemporains qui sont parfois désignés sous le nom du Sanguinarium. Cet article décrit les différents types de vampires et inclut un récit auto ethnographique pour mieux aider à comprendre les complexités de cette forme de déviance. Bien que le vampirisme soit généralement considéré déviant, cette forme de déviance peut être divisée en différents types. Une telle déviance remet aussi en question ce qui typiquement est considéré comme ≪ normal ≫. Comparés aux membres normaux de la société, les vrais vampires sont souvent perçus comme psychopathologie et criminel. De telles perceptions et descriptions ne sont pas nécessairement valides, mais demeurent des constructions sociales qui sont situées dans nos discours populaires et interprétations culturels. Une méthode appliquée révèle que plusieurs rituels vampiriques peuvent être interprété comme artistiques, expressifs, et plutôt normal et sain.