Masculin/féminin chez les romanciers québécois contemporains : l’idée de différence entre maintien et renouvellement

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Notes

Notes

1. Voir DuPlessis.

2. Pour un exposé plus approfondi de ces trois cadres modélisant les façons de concevoir les identités de sexe/genre, voir Boisclair et Saint-Martin.

3. Le présent article s’inscrit dans le cadre d’un projet de recherche intitulé « L’identité sexuelle en question dans la fiction québécoise au masculin », subventionné par le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH 2006–2009).

4. Sur les traces laissées par le discours féministe dans quelques œuvres contemporaines, voir Joubert.

5. Le « sic » est de l’auteur.

6. Pour les effets de lecture produits par le recours, chez un auteur masculin, à une perspective de femme (protagoniste, voire narratrice), voir Saint-Martin « Narrative Transvestism » et « Romans d’homme ».

7. Alimentant ainsi ce que Serge Bilé nomme Le mythe du sexe surdimensionné des Noirs.

8. La mère de l’un des personnages meurt dès le début du récit.

9. Pour un portrait d’ensemble de la figure du père dans la littérature québécoise contemporaine, voir Saint-Martin « Des pères absents ».