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Fire season and prairie forb richness in a 21-y experiment

Pages 317-328 | Received 01 Nov 2010, Accepted 13 Jul 2011, Published online: 03 Dec 2015
 

Abstract

An experimental restoration in Wisconsin planted in 1986 tested the hypothesis that growing-season fire maintained richness of native herbaceous dicots (forbs). Replicated plantings were burned in May or July, or left unburned, every third year from 1989 to 2004 and monitored for differences in cover and richness through 2006. Native forb richness was higher in burned than unburned plots, with greatest richness following July burns. Two seasons after the 2004 fires, counts averaged 2 more native forb species in replicates burned in July than those burned in May and 4 more species in replicates burned in July than those left unburned. The strongest statistical response to fire season was higher richness of early-flowering species in replicates burned in July, largely attributable to early-flowering forbs planted in 1986 that persisted better after July burns than in other treatments. Spring fire increased cover of late-flowering C4 grasses. As of 2006, C4 grasses accounted for 76% cover after May fires, 52% after July fires, and 39% in unburned plots. Replicates burned in July held more alien species for the first 12 y, after which alien richness declined and differences among treatments disappeared. Summer fire best maintained richness of native, especially early-flowering, species.

Résumé

Un site au Wisconsin restauré par plantation en 1986 a été utilisé pour tester l'hypothèse que les feux durant la saison de croissance maintiennent la richesse en herbacées dicotylédones indigènes. Des réplicats de plantation ont été brÛlés en mai, en juillet ou laissés intacts chaque trois ans entre 1989 et 2004 et les différences de couverture et de richesse ont été suivies jusqu'en 2006. La richesse en herbacées dicotylédones indigènes était plus élevée dans les parcelles brûlées que dans celles laissées intactes, et celles brûlées en juillet possédaient la richesse la plus élevée. Deux saisons après les feux de 2004, il y avait en moyenne deux espèces d'herbacées indigènes de plus dans les réplicats brûlés en juillet que dans ceux brulés en mai, et quatre espèces de plus dans les réplicats brûlés en juillet que dans ceux laissés intacts. Les espèces à floraison hâtive dans les réplicats brulés en juillet démontraient la réponse statistique la plus forte à la saison de feu en grande partie due aux herbacées à floraison hâtive plantées en 1986 qui persistaient mieux après les feux de juillet que dans les autres traitements. Les feux printaniers augmentaient la couverture des herbes C4 à floraison tardive. En 2006, les herbes C4 représentaient 76% de la couverture végétale après les feux de mai, 52% après ceux de juillet et 39% dans les parcelles non brûlées. Les réplicats brûlés en juillet comprenaient plus d'espèces exotiques pour les 12 premières années après quoi, la richesse en espèces exotiques déclinait et les différences entres les traitements s'estompaient. Les feux estivaux contribuaient le plus au maintien de la richesse en espèces indigènes, en particulier celles à floraison hâtive.

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