Abstract
African parrots are among the most traded of all birds listed on the appendices of the Convention on International Trade in Endangered Species of Wild Fauna and Flora (CITES). Collapses in some wild populations due to trapping for the pet trade have highlighted the threats posed by overexploitation. Although over 3.3 million African parrots have been reported in trade since 1975, virtually no monitoring of exploited populations has taken place and basic ecological data do not exist for the majority of traded species. Greater scrutiny of the wild bird trade in Africa would help ensure the practice is compatible with conservation goals as well as minimise biosecurity risks, including the spread of infectious diseases and the establishment of invasive populations.
Commerce des oiseaux sauvages et perroquets africains: défis passés, présents et futures
Les perroquets africains sont parmis les oiseaux les plus commercialisés d’après la liste de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES). L’effondrement de certaines populations sauvages due à la capture pour le commerce animalier a mis en évidence les menaces posées par la surexploitation. Bien que plus de 3.3 millions de perroquets africains ont été commecialisés depuis 1975, pratiquement aucune surveillance des populations exploitées n’a été mise en place et les données écologiques de bases n’existent pas pour la majorité des espèces commercialisées. Une surveillance accrue du commerce d’oiseaux sauvages en Afrique aiderait à s’assurer que cette pratique est compatible avec les objectifs de conservations ainsi qu’à minimiser les risques sanitaires incluant la propagation de maladies infectieuses et l’installation d’espèces invasives.
Notes
This article is based on a paper presented at the 14th Pan-African Ornithological Conference, Dakar, Senegal, 16–21 October 2016