Abstract
L'origine embryologique identique de la cochlée et du vestibule suggère de rechercher pour ce dernier, comme on l'a fait pour la cochlée, le seuil, les potentiels d'action au niveau du récepteur, les effets des variations de fréquence et d'amplitude. En accord avec Stevens, nous pensons qu'il y a une perception vestibulaire spécifique et constante dans des conditions données, résultant de la rotation ou du mouvement rectiligne. A toute réception sensitive ou sensorielle, comme à toute réaction, correspond une valeur-seuil de stimulation. Celle-ci est etablie par la méthode des statistiques.