Abstract
Dans une première série d'expériences la variation de la teneur en DNA est étudiée en détail à la sortie du bruit et les premières heures qui suivent le traumatisme acoustique. Les modifications rapportées prouvent le métabolisme important au niveau des noyaux des cellules ganglionnaires et sensorielles. Dans une seconde expérience il est démontré que cette diminution du DNA est un processus passager dans les conditions données.