Résumé
La soi-disant rétinopathie de chloroquine est probablement une anomalie de l'étiologie multiple, bien que la sensibilité individuelle pour cette drogue soit préalablement nécessaire pour l'occurence de cette condition. Chez quelques malades cette sensibilité individuelle est le seul élément déterminant. Le présent examen qui ne permet pas de conclusions définitives n'a pas démontré que la fréquence de la rétinopathie chez les malades traités avec la chloroquine pendant deux ans ou plus, surpasse celle chez des malades n'ayant pas subi ce traitement.