Abstract
A Canadian Precipitation Analysis (CaPA) project for producing 6 h rainfall accumulations at a resolution of 15 km over North America in real‐time is described. The spatial interpolation technique is based on statistical interpolation using short‐range precipitation forecasts from the Canadian Meteorological Centre's (CMC) regional model as the background field with rain‐gauge measurements from the surface network and radar derived rain rates as observations. A pilot study was undertaken over the province of Québec at a resolution of 10 km using additional rain‐gauge observations from a cooperative network for August 2003. This test period allowed the development of methodologies for an objective estimation of background and observation error statistics and for improving the overall quality of rain‐gauge and radar data. The improved skill of the analysis with respect to the model short‐range forecasts is assessed against radar precipitation. The use of additional rain gauges from the surface cooperative network in Québec significantly increased the quality of the resulting analysis.
Résumé
[Traduit par la rédaction] Nous décrivons un projet canadien d'analyse de précipitations (le CaPA) visant à produire en temps réel des accumulations de pluie de 6 h à une résolution de 15 km pour l'Amérique du Nord. La technique d'interpolation spatiale est basée sur l'interpolation statistique et utilise les prévisions de précipitations à court terme du modèle régional du Centre météorologique canadien (CMC) comme champ d'essai et les mesures par pluviomètres du réseau de surface ainsi que les taux de précipitation fournis par les radars comme observations. Une étude pilote a été entreprise pour le territoire québécois à une résolution de 10 km à l'aide d'observations supplémentaires par pluviomètres provenant d'un réseau coopératif pour août 2003. Cette période test a permis d'établir des méthodologies pour estimer objectivement les statistiques d'erreurs du champ d'essai et des observations et pour améliorer la qualité générale des données des pluviomètres et des radars. En nous basant sur les données radar de précipitations, nous estimons l'amélioration de la qualité de l'analyse par rapport à la prévision à court terme du modèle. L'utilisation de pluviomètres supplémentaires du réseau coopératif de surface au Québec a augmenté de manière significative la qualité de l'analyse résultante.
Notes
Corresponding author's e‐mail: jean‐[email protected]; current affiliation: Météo‐France/CNRM/GMME/TURBAU, 42 Avenue G. Coriolis, 31057 Toulouse Cedex 1, France