Abstract
The Great Lakes fisheries have suffered over a long period of time from over-exploitation, habitat destruction and the invasion of alien species, generally in the belief that the resource was inexhaustible and should be freely accessible. The decline of the Atlantic Salmon in Lake Ontario and of the sturgeon in Lake Erie was complete in the nineteenth century; dominant species today comprise fish which in earlier times were at the bottom of the value scale. Attempts to coordinate remedial action by governments around the Lakes failed until the sea lamprey invasion precipitated an international treaty in 1955 which set up the Great Lakes Fishery Commission. The GLFC and IJC are now exploring the possibility of cooperative programs, out of a larger common interest in environmental quality.
Les pêcheries des Grands Lacs ont, au cours d’une longue période, souffert de la surexploitation, de la destruction des habitats et de l’invasion d’espèces étrangères alors qu’on croyait que la ressource était inépuisable et qu’on devait en permettre le libre accès. Le déclin du saumon de l’Atlantique dans le lac Ontario et de l’esturgeon dans le lac Erié était déjà chose accomplie au dix-neuvième siècle; les espèces dominantes d’aujourd’hui comprennent des poissons qui, antérieurement, se situaient au bas de l’échelle des valeurs. Les tentatives de coordination des actions correctrices par les gouvernements ont avorté jusqu’au moment de l’invasion des Lacs par la lamproie océanique, ce qui précipita la signature en 1955 d’un traité international créant la Commission des Pêcheries des Grands Lacs. Cette commission (GLFC) et la Commission mixte internationale (IJC) envisagent maintenant la possibilité de programmes conjoints dérivant d’un intérêt commun pour la qualité de l’environnement.