Abstract
An examination of some of the difficulties of providing adequate means of communication among the residents of a watershed where national, provincial, state and cultural differences impede an early exchange of ideas, plans, and policies affecting one another. This problem is examined in the light of the proposal to regulate the levels of Lake Champlain and the Richelieu River now before the IJC. The need for improvement in such situations will be examined also in the light of past experiences with compacts and conferences and treaties as well as some possible future alternatives that might help to reduce the current mode of "crisis planning". The New England River Basin Commission has recently completed a two-year study of the planning options for Lake Champlain as they relate to the U.S., N.Y. and Vermont. Unfortunately, Canada and Quebec have not been parties to this process.
Un examen de quelques difficultés à fournir des moyens de communication efficaces parmi les résidents d’un bassin hydrographique où des différences nationales, provinciales, politiques et culturelles empêchent un échange favorable d’idées, de plans et de politiques se reliant les uns aux autres. Ce problème est examiné dans le cadre de la proposition selon laquelle on devrait régulariser les niveaux du lac Champlain et de la rivière Richelieu; cette proposition est maintenant entre les mains de la CMI. Le besoin d’amélioration dans de telles circonstances sera aussi examiné d’après les expériences passées en rapport avec les conventions et les conférences et les traités, ainsi que quelques choix possibles de solutions qui pourraient aider à réduire le mode actuel de la "planification d’urgence". La Commission de Nouvelle-Angleterre sur les bassins hydrographiques a terminé récemment une étude d’une durée de deux ans sur les options de planification du lac Champlain en relation avec les E.-U., N-Y et le Vermont. Malheureusement, le Canada et le Québec n’ont pas participé à cette étude.