Abstract
The e are very few successful smallholder irrigation schemes—projects which are economically sound—in Sub-Saharan Africa. They are less than successful, or are out-right failures, because of well known and recognized reasons. Yet new ones are begun, or older schemes expanded, without adequate designed "proofing" against these risks.This paper discusses the nature of what the author considers the key technical/climatic, agronomic, institutional, financial, socio-political and marketing risks inherent in such projects Singly or in combination the failure to anticipate these risks properly leads to a spiraling downward iterative process of financial difficulties, thus reduced incentives thus reduced capabilities, thus drops in output, and etcetera. Perhaps the two most common reasons for failure are gross inadequacies in qualified extension personnel; and the emeshing of the scheme’s administration in the government’s bureaucracy.
Très peu de plans ou de projets d’irrigation réussissent et sont rentables au sud du Sahara. En fart, ils sont le plus souvent des échecs complets pour des raisons qui sont bien connues. Pourtant de nouveaux plans sont établis et les vieux réseaux sont prolongés, sans qu’aucune garantie adéquate ne soit offerte contre cf risques.Ce document traite de la nature des principaux risques teçhnico-climatiques, agronomiques, institutionnels, financiers et socio-politiques, de même que des problèmes de commercialisation qui, selon l’auteur, se rattachent à de projet. Le défaut de prévoir un ou une combinaison de ces risques mène directement à processus itératif de descente en spirale causé par les difficultés financières qui diminuent la motivation et, par le fait même, les capacités, entraînant une baisse de résultats, et ainsi de suite. Les raisons les plus courantes des échecs sont peut-être une insuffisance flagrante de personnel qualifié, ainsi que l’empêtrement des administrateurs du plan dans la bureaucratie gouvernementale.