Abstract
The Aquifer Vulnerability Index (AVI) method for mapping the vulnerability of groundwater is based on two key parameters, 1) thickness of each sedimentary unit above the uppermost aquifer, and 2) estimated hydraulic conductivity of each of these layers. Using water well records, these parameters are combined to obtain a reasonable estimate of the hydraulic resistance of the protective aquitard cover, if present, at each site. AVI regions of isovulnerability (extremely low, low, moderate, high and extremely high) are then contoured using the geographic information system (GIS) SPANS. The AVI method was used to map a 3100 km2 area along the Saskatchewan-Alberta boundary. AVI maps can be used to help define groundwater protection zones, or for screening sites for land use selection. Within SPANS, AVI maps can be compared or merged with other GIS-referenced information, such as land use and water quality.
La méthode à indice de vulnérabilité d’aquifère (IVA) servant à la représentation de la vulnérabilité de l’eau souterraine est basée sur deux paramètres clés : 1) épaisseur de chaque couche sédimentaire au-dessus de l’aquifère supérieur et 2) conductivité hydraulique estimée de chacune de ces couches. À partir d’enregistrements concernant des puits d’eau, ces paramètres sont combinés en vus de fournir une estimation raisonnable de la résistance hydraulique de la couverture de couche semi-perméable protectrice, lorsqu’il en existe une, à chaque site. Les régions d’IVA présentant une isovulnerabilité (extrêmement faible, faible, moyenne, élevée et extrêmement élevée) sont ensuite tracées à l’aide du système SPANS du Système d’information géographique (SIG). La méthode basée sur l’IVA a été utilisée pour représenter une superficie de 3100 km2 le long de la frontière Saskatchewan-Alberta. Les cartes d’IVA peuvent faciliter la définition des sones de protection de l’eau souterraine ou servir à l’examen des sites en vue du choix de l’utilisation des terrains. Dans le système SPANS, les cartes d’IVA peuvent être comparées ou fusionnées avec d’autres informations auxquelles fait référence le SIG, comme l’utilisation des terrains et la qualité de l’eau.