Abstract
Physical habitat modelling has been developed at the scale best applicable to short river stretches and selected species of fish. The integration of these models into management practices at the river and watershed scale would therefore require corresponding modifications in both the models and results. Such procedures fall into three major categories: biological, spatial and temporal upscaling. Biological upscaling develops methods for applying habitat models to aquatic communities, as opposed to individual indicator species. Spatial upscaling creates a hierarchical framework through which to translate habitat observations from the species to management scale. Temporal upscaling incorporates biological and hydro-morphological dynamics into the static model. In the following paper the upscaling concept will be described in greater detail, illustrating its application with the example of the Quinebaug River in New England.
La modélisation physique des habitats a été développée à une échelle applicable à de courts tronçons de rivière et pour certaines espèces de poissons. Afin d’intégrer ces techniques dans la gestion des rivières et des bassins versants, il devient nécessaire d’adapter ces modèles et les résultats qui en découlent à une échelle compatible à celle utilisée pour la gestion. Il existe trois catégories d’aggrégation : biologique, spatiale et temporelle. L’agrégation biologique développe des méthodes pour l’application de modèles d’habitat à des communautés plutôt qu’à une seule espèce. L’agrégation spatiale crée un cadre hiérarchique qui permet d’interpréter et d’extrapoler les résultats observés à l’échelle des habitats d’espèces données à une échelle plus grande. L’agrégation temporelle incorpore les dynamiques biologiques et hydro-morphologiques dans le modèle. Dans cet article on décrit ce concept et, à l’aide d’exemples de certaines rivières du nord-est des États-Unis, on démontre son application.