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Private Irrigators in Southern Alberta: A Survey of Their Adoption of Improved Irrigation Technologies and Management Practices

Pages 339-350 | Published online: 23 Jan 2013
 

Abstract

Private irrigators account for about one-quarter of total irrigated area in southern Alberta with the balance of irrigation taking place within 13 irrigation districts. Some 1,367 private irrigation license holders exist in Alberta with a total irrigable area of more than 125,000 hectares. This group’s participation in achieving the province’s Water for Life objective of a 30 percent increase in water efficiency and productivity is important. Based on a random survey of private irrigators, it was found that they are grounded in family farm traditions, have been slow to adopt improved irrigation technologies and management practices in the past, and have even less intention of doing so in the future. A host of factors are causing this low adoption rate, but foremost are financial constraints and physical field conditions. Large cash subsidies or the establishment of additional processing facilities especially for Timothy hay and alfalfa would be required to motivate this group to adopt improved irrigation technologies. Adopting improved management practices may occur more readily since these would not involve large financial outlays. Water savings may be possible since the decision of when and how much to irrigate continues to be based on the long-standing tradition of eye-balling the crop’s condition and judging the weather.

Les irrigants privés représentent environ un quart de la surface irriguée totale dans le Sud de l’Alberta, le reste de l’irrigation étant réalisée dans 13 districts d’irrigation. En Alberta, on compte quelque 1 367 titulaires de permis d’irrigation privés, pour une zone d’irrigation totale de plus de 125 000 hectares. La participation de ce groupe à l’atteinte de l’objectif Eau pour la vie de la province, qui vise à accroître de 30 pour cent la productivité et l’efficience de l’eau, est jugée importante. Une enquête privée menée au hasard auprès d’irrigants privés révèle que ces derniers sont très attachés aux traditions de l’exploitation agricole familiale, qu’ils ont été lents par le passé à adopter les pratiques de gestion et les technologiques d’irrigation améliorées, et qu’ils en ont encore moins l’intention à l’avenir. Une multitude de facteurs sont à l’origine de ce faible taux d’adoption, mais ce sont d’abord et avant tout les contraintes financières et les conditions physiques sur le terrain qui en sont la cause. D’importantes subventions en espèces ou la mise sur pied d’installations de traitement supplémentaires, en particulier pour le foin de Timothy et la luzerne, s’avéreraient nécessaires pour inciter ce groupe à adopter de meilleures techniques d’irrigation. L’adoption de pratiques de gestion améliorées peut se faire plus facilement, celle-ci ne supposant pas de larges dépenses. En outre, des économies d’eau sont possibles. En effet, les décisions quant au moment de l’irrigation et quant à la quantité d’irrigation nécessaire continuent de reposer sur la tradition de longue date qui consiste à évaluer au pifomètre l’état de la culture et à se fier à la météo.

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