Planning leisure: helpful or harmful?

ABSTRACT

The purpose of this study was to examine whether planning leisure resulted in more positive outcomes among undergraduate students. Using empirical and theoretical evidence as a guide, we conducted an experiment in which we directed participants to plan a leisure activity each day for six days. We hypothesized that planning leisure would lead people to engage in leisure more frequently and, consequently, experience more positive emotion and less negative emotion. Our hypotheses were partially supported: the experimental groups did not differ in experience of positive affect; however, daily time spent in leisure was associated with higher daily positive affect. Also, people’s experience of negative affect declined over the course of the study, but people who planned their leisure declined at a lesser rate than those who did not plan their leisure. This study suggests that planning leisure does not result in positive outcomes and may be harmful. However, this study also supports the relation between engaging in leisure and experiencing positive affect.

RÉSUMÉ

Cette étude cherchait à déterminer si la planification des loisirs suscitait des résultats plus positifs chez les étudiants du premier cycle. Faisant appel à des données empiriques et théoriques, nous avons mené une expérience dans le cadre de laquelle nous avons demandé aux participants de planifier une activité de loisir chaque jour pendant six jours. Nous avons émis l’hypothése que la planification des loisirs aménerait les gens participer plus fréquemment à des activités de loisir et, par conséquent, à ressentir plus d’émotions positives et moins d’émotions négatives. Nos hypothéses ont été partiellement confirmées: les groupes expérimentaux ont tous ressenti les mêmes effets positifs; cependant, la durée quotidienne consacrée aux loisirs était associée à un affect positif quotidien plus élevé. De plus, le ressenti d’un affect négatif par les participants a diminué au cours de l’étude, mais les personnes qui planifiaient leurs loisirs l’ont ressenti dans une moindre mesure par rapport à celles qui ne les planifiaient pas. Cette étude suggére que la planification des loisirs n’entraîne pas de résultats positifs et peut être néfaste. Cependant, cette étude soutient également la relation entre la pratique de loisirs et l’expérience d’affect positif.

KEYWORDS:

• Leisure
• positive affect
• negative affect
• theory of planned behaviour

MOTS CLÉS:

• loisirs
• affect positif
• affect négatif
• théorie du comportement planifié

Disclosure statement

No potential conflict of interest was reported by the authors.