Abstract
This article uses the renowned antiquarian Nicolas-Claude Fabri de Peiresc (1580–1637) as a case study to examine the intellectual and religious culture of the early seventeenth century. In particular, using his extensive correspondence, it investigates the manner in which the exchange of letters could be used to reinforce the identity of one confession (Catholicism), while at the same time facilitating dialogue between individuals of different confessions, faiths and cultures. It also examines the extent to which material gifts and hospitality, offered regardless of the recipient's faith, served to reinforce such relationships in the emerging Republic of Letters.
Abstract
Cet article utilise l'exemple de Nicolas-Claude Fabri de Peiresc (1580–1637) pour examiner la culture intellectuelle et religieuse du début du XVII siècle. En particulier, en se servant de sa correspondance étendue, il étudie la manière dont l’échange de lettres pouvait être utilisée aussi bien pour renforcer l'identité d'une confession (le catholicisme) que pour faciliter le dialogue entre des individus de diverses confessions, religions et cultures. L'article examine aussi dans quelle mesure les cadeaux et l'hospitalité, offerts sans se soucier de la religion du destinataire, ont servi à renforcer de telles relations dans la République des Lettres.