ABSTRACT
This study examines quest for everydayness, topophilic bonds and economic value of snowbirds in the south-western part of the United States. The data are collected from Wickenburg, a rural town in the State of Arizona. Insights are offered on how Wickenburg, with its cultural and natural attractions, forges strong bonds with the snowbirds in the context of the topophilia domains (ecodiversity, synesthetic tendency, cognitive challenge and familiarity). Furthermore, spending behaviour of this market is examined to determine the economic potential of this market.
RÉSUMÉ
La controverse concernant le modèle médical au sein de la communauté thérapeutique récréative possède une longue histoire. Des auteurs ont contesté la légitimité du modèle médical de la thérapie récréative, en alléguant qu’un modèle social est plus adapté. Dans la lignée de l’appel récent (Arai, Berbary et Dupuis, 2015) à poursuivre la conversation de redéfinition de la thérapie récréative, la présente étude vise à identifier et à décrire un cadre théorique visant à modifier l’environnement par l’entremise de relations de loisir plutôt que par la réadaptation de la personne. La construction de l’histoire de la thérapie récréative ne peut être uniquement comprise à partir du modèle médical. Un autre angle d’analyse a surgi d’une préoccupation sociale patrimoniale, par la suite corrélée au mouvement pour les droits des personnes handicapées. Nous explorons plus en profondeur les preuves théoriques et expérimentales pouvant fournir une compréhension de type “contre-thérapie” de la thérapie récréative. L’appartenance a été identifiée comme un concept se prêtant bien à la vision alternative de la thérapie récréative basée largement sur le modèle social. Enfin, les implications de l’adoption d’un modèle de communauté sociale/de loisir sont revisitées.
Disclosure statement
No potential conflict of interest was reported by the authors.