Notes
Notes
1. Ce n’est qu’au générique de fin que deux prénoms viennent s’accoler au nom des actrices.
2. Ozon est attentif à manipuler les couleurs tout au long de son film : le blanc, le bleu, le rouge, le noir, aussi bien dans les vêtements que dans les éclairages, voire dans les moindres objets.
3. Cf. Jousse, qui en est persuadé. On pourrait, de fait, considérer la totalité du film comme un pur fantasme, une histoire d’horreur que chacune des protagonistes se raconterait à elle-même: la mère, quelque peu infantile, pour se faire peur dans sa grande maison vide, comme le font les enfants avant de s’endormir–l’aventure en Tunisie (premier dîner) fonctionnant alors comme mise en abyme dans la structure narrative ; la routarde, en adéquation avec son aspect inquiétant, comme une façon d’imaginer comment se procurer violemment ce qu’elle n’a pas à soi : en châtiant.