Figures & data
Figure 1. Exemple de comparaison des profils en travers relevés sur site, et issus des relevés Lidar avant/après crue, permettant de confirmer un creusement de la section, sur la Gordolasque à Belvédère.
![Figure 1. Exemple de comparaison des profils en travers relevés sur site, et issus des relevés Lidar avant/après crue, permettant de confirmer un creusement de la section, sur la Gordolasque à Belvédère.](/cms/asset/81b9f8a2-76b9-4777-a423-286a101d4a32/tlhb_a_2082891_f0001_oc.jpg)
Figure 2. Exemple de section permettant un recoupement des méthodes d’estimation des vitesses, à Lantosque : a) localisation des deux sections relevées, b) vue de la section 1 (chenal en amont de l’ouvrage), c) vue de la section 2 avec courbure dans l’ouvrage souterrain.
![Figure 2. Exemple de section permettant un recoupement des méthodes d’estimation des vitesses, à Lantosque : a) localisation des deux sections relevées, b) vue de la section 1 (chenal en amont de l’ouvrage), c) vue de la section 2 avec courbure dans l’ouvrage souterrain.](/cms/asset/79cb4fc6-1d5d-488a-a39a-38c69ed825ea/tlhb_a_2082891_f0002_oc.jpg)
Figure 3. Localisation des sections relevées sur le terrain et ayant abouti à des estimations de débits de pointe.
![Figure 3. Localisation des sections relevées sur le terrain et ayant abouti à des estimations de débits de pointe.](/cms/asset/928b11db-00d8-424d-9091-81ad996ed882/tlhb_a_2082891_f0003_oc.jpg)
Figure 5. Hydrogrammes simulés par le modèle Cinecar du 2 octobre à 7 h au 3 octobre à 3 h (UTC), pour des CN spatialement homogènes de 35 et 100 (en vert), et pour le jeu de CN distribué spatialement et ajusté sur l’événement (bleu). Les intervalles de débits de pointe estimés d’après les relevés de terrain sont représentés en rouge (bornes inférieure, médiane et supérieure). La localisation des sections présentées est indiquée sur la et la .
![Figure 5. Hydrogrammes simulés par le modèle Cinecar du 2 octobre à 7 h au 3 octobre à 3 h (UTC), pour des CN spatialement homogènes de 35 et 100 (en vert), et pour le jeu de CN distribué spatialement et ajusté sur l’événement (bleu). Les intervalles de débits de pointe estimés d’après les relevés de terrain sont représentés en rouge (bornes inférieure, médiane et supérieure). La localisation des sections présentées est indiquée sur la Figure 3 et la Figure 4.](/cms/asset/4d838c1f-8a74-487c-9809-7c685376a36b/tlhb_a_2082891_f0005_oc.jpg)
Figure 7. Comparaison des débits de pointe estimés aux records connus sur le territoire métropolitain français, et aux débits estimés lors des précédentes campagnes HyMeX dans les Alpes-Maritimes (crues du 2 octobre 2015, du 23 novembre 2019 et du 1er décembre 2019). Les débits sont exprimés en débit spécifique (en m3.s−1.km−2), et les valeurs d’intensités pluviométriques nécessaires pour pouvoir atteindre ces débits sont indiquées en gris (en mm.h−1). Les bornes minimales et maximales des débits estimés ne sont pas représentées pour une meilleure lisibilité du graphique. La courbe enveloppe et les débits maximums connus correspondent aux données regroupées par Gaume et al. (Citation2009)
![Figure 7. Comparaison des débits de pointe estimés aux records connus sur le territoire métropolitain français, et aux débits estimés lors des précédentes campagnes HyMeX dans les Alpes-Maritimes (crues du 2 octobre 2015, du 23 novembre 2019 et du 1er décembre 2019). Les débits sont exprimés en débit spécifique (en m3.s−1.km−2), et les valeurs d’intensités pluviométriques nécessaires pour pouvoir atteindre ces débits sont indiquées en gris (en mm.h−1). Les bornes minimales et maximales des débits estimés ne sont pas représentées pour une meilleure lisibilité du graphique. La courbe enveloppe et les débits maximums connus correspondent aux données regroupées par Gaume et al. (Citation2009)](/cms/asset/70bfa030-60df-4a4e-9273-7dc7b8609ce8/tlhb_a_2082891_f0007_oc.jpg)