A Study of Contamination in Fire Debris Containers

ABSTRACT

A survey was conducted to examine the stock of 1L glass mason jars available for use by investigators in the Office of the Ontario Fire Marshal (OFM) to collect fire debris in order to address concerns regarding possible contamination. Two jars were submitted by each of twenty-three investigators, and a minimum of two jars were submitted from six regional storage facilities, each with a brief storage history. Headspace gas chromatography (GC) was performed on all jar contents to ascertain if any contamination could be detected and, if so, to determine its level, nature and possible origin. The majority of mason jars (i.e. those from eighteen investigators and three regional storage facilities) exhibited no appreciable contamination that would interfere with typical fire debris analysis. Approximately one-third of the jars submitted showed trace level contaminant peaks in the range of C₈ to C¹⁸. These indications would not be positively identified as known ignitable liquid standards using ASTM guideline 1387–95 and would potentially interfere with the analysis of only trace level accelerants made by this laboratory. These data were evaluated in relation to current OFM storage practices and procedures in order to assist in the development of a revised OFM Standard Operating Procedure for mason jar handling prior to use by the investigator.

RÉSUMÉ

Une étude a été menée afin de vérifier si les pots mason de 1L utilisés par les enquêteurs du Bureau du commissaire des incendies de l'Ontario (BCI) pour prélever des débris d'incendies pourraient être contaminés. Deux pots de chacun des 23 enquêteurs ainsi qu'un minimum de deux pots de six entrepôts régionaux ont été soumis, chacun avec un bref historique d'entreposage. Le contenu de chaque pot a été analysé par Chromatographie en phase gazeuse (procédure d'espace de tête) afin de détecteur toutes traces de contamination et, le cas échéant, déterminer le niveau, la nature et l'origine possible de la contamination. Aucune contamination appréciable qui pourrait interférer avec l'analyse des débris d'incendies n'a été détectée dans la plupart des pots mason (c.-à-d. ceux de dix-huit enquêteurs et de trois entrepôts). Approximativement un tiers des pots soumis contenaient des traces de contaminant entre C₈ et C₁₈. Ces traces ne seraient pas identifiées de façon concluante comme liquides inflammables connus selon les lignes directrices 1387–95 de l'ASTM, et pourraient potentiellement gêner l'analyse d'activateurs à l'état de trace faite à ce laboratoire. Ces données ont été évaluées en tenant compte des pratiques et procédures d'une procédure normalisée revisée du BCI dans la manipulation des pots mason avant leur utilisation par l'enquêteur.