ABSTRACT
Retrospective analysis of the incidence of Radio Frequency Interference (RFI) exception messages obtained during testing of suspected impaired drivers on the Intoxilyzer® 5000C over a 13-year period (1997 to 2009) was examined in order to address concerns on the hypothetical impact of RFI on breath alcohol testing. RFI messages were rare, occurring in less than 0.48% (n = 128) of the 26,939 drivers tested. Multiple RFI messages were even more infrequent, occurring in only 10.2% of RFI-positive cases (n = 13). There was no significant effect of the incidence of RFI messages attributable to a particular testing location (p = 0.98), a specific instrument (p = 0.98), or year of testing (p = 0.99). In addition, the data show no evidence that hypothetical “undetected” RFI events, in addition to those already detected by the instrument, affected either the calibration check results or the subject breath tests in this study. Instruments are designed with an RFI detection system and shielding to protect the internal electronics against RFI. The breath testing procedure requiring two tests in good agreement (within 20 mg/100 mL truncated) is an additional safeguard against “undetected” RFI impacting the tests, and serves to increase the scientific confidence in the results obtained.
RÉSUMÉ
Une analyse rétrospective sur une période de 13 ans (1997 à 2009) des messages d'erreur émis lors d'une interférence avec les fréquences radio pendant l'analyse d'haleine de conducteurs soupçonnés de conduite avec facultés affaiblies a été effectuée dans le but de répondre aux préoccupations sur l'impact hypothétique de telles interférences sur l'analyse éthylique de l'haleine. Les messages d'interférence avec les fréquences radio sont rares; ils sont survenus dans moins de 0,48% (n = 48) des 26 939 conducteurs testés. Les messages multiples ont été encore moins fréquents; ils sont survenus dans seulement 10,2% des cas d'interférence (n = 13). Il n'y a pas eu d'impact significatifs du lieu du test (p = 0,98) ou d'un instrument spécifique (p = 0,98) sur le taux d'incidence d'un message d'interférence. De plus, les données ne montrent évidences que d'hypothétiques événements d'interférence avec les fréquences radio « non-détectés » en surplus de ceux déjà détectés par l'appareil auraient eu une influence, que ce soit sur les résultats de tests de calibration sur les résultats des analyses d'haleine effectuées lors de cette étude. Les appareils sont conçus avec un système de détection d'interférences avec les fréquences radio et avec un blindage afin de protéger les circuits électroniques internes contre de telles interférences. La procédure d'analyse de l'haleine qui requiert deux résultats concordants (à l'intérieur d'un écart de 20mg/mL) représente un rempart supplémentaire contre d'hypothétiques interférences « non-détectées » qui pourraient affecter les résultats des tests et permet d'accroître la certitude scientifique associée à ces résultats.
Acknowledgment
The authors would like to thank Amy Peaire for her assistance in review of this manuscript and Gerry Kupferschmidt for his interesting discussions on this topic.
Disclosure statement
No potential conflict of interest was reported by the authors.
Notes
* Presented at the 57th Annual Meeting of the Canadian Society of Forensic Science, December 2010