Summary Contribution to the systematic rearrangement of the West-Palaearctic Peritelini IX Revision of the genus Meira Jacquelin du Val 1852 (Coleoptera: Curculionidae: Entiminae)
The genus Meira Jacquelin du Val 1852 is revised, four lectotypes and a neotype are designated, a new synonymy is proposed and four new species from France – one from Alpes-Maritimes (Meira alpina n. sp.), two from Var (M. echinoides n. sp. and M. teloniensis n. sp.), one from Vaucluse (M. germanni n. sp.) and one from Italy, from Abruzzo (M. osellai n. sp.) are described,. Synonyms, bibliographic and ecological data are provided. Whole-body photos of the types of the old species and of the four new species, drawings of systematically important characters, keys and distribution maps are also presented.
Résumé
Le genre Meira Jacquelin du Val, 1852 est redéfini. Toutes ses espèces sont révisées : quatre lectotypes et un néotype sont désignés, une nouvelle synonymie est proposée et cinq nouvelles espèces sont décrites, dont quatre françaises, provenant des Alpes-Maritimes (Meira alpina n. sp.), du Var (M. echinoides n. sp. et M. teloniensis n. sp.), du Vaucluse (M. germanni n. sp.), et une italienne, provenant des Abruzzes (M. osellai n. sp.). Des données synonymiques, bibliographiques et écologiques sont présentées, ainsi que les photos de l’habitus des types des espèces anciennes et des espèces ici nouvellement décrites, des illustrations de pièces anatomiques significatives pour la taxinomie, des clés d’identification et des cartes de répartition.http://zoobank.org/urn:lsid:zoobank.org:pub:5300EE1C-A678-44CA-B80F-8148DD0E90C1
Remerciements
Je remercie vivement tous les Amis et Collègues qui m’ont confié le matériel de leurs Instituts ou de leurs collections privées ; en particulier, je suis redevable à mes Amis Eric Rouault, Christian Perez et Jean-Michel Lempereur, à M. Michele Zilioli du Museo Civico di Storia Naturale de Milan et M. Leonardo Forbicioni pour les photos, à M. Olivier Montreuil et M. Jean-François Voisin pour la relecture critique du texte et surtout à Mlle Hélène Perrin, toujours point de repère au Muséum national d’Histoire naturelle à Paris, pour son aide précieuse et pour ses suggestions et corrections minutieuses et pertinentes.