Summary
Calliptamus barbarus (Orthoptera: Acrididae) is the most polymorphic species within the genus Calliptamus. It shows a morphological polymorphism (three hind femoral spots, or only one hind femoral spot). Several studies have been made in order to distinguish the two forms: morphometry, number of ovarioles, sound production, protein and enzyme system. The aim of our work is to assess whether the two forms can be considered as different taxa and to perform a molecular phylogenetic study of two populations of C. barbarus collected from two different Algerian localities. No clear genetic differentiation was found between the samples with different morphologies. Additionally, the samples from Algeria do not form a monophyletic sister clade compared to the one formed by the sequences from GenBank from other geographical regions. Despite the morphological differences shown between the two populations, our molecular study indicates that there are no differences at a molecular level using the two mitochondrial genes COI and 16S.
Résumé
Calliptamus barbarus est l’espèce la plus polymorphe au sein du genre Calliptamus. Elle montre un polymorphisme morphologique (une ou trois taches au niveau des fémurs postérieurs). Plusieurs études ont été réalisées dans le but de distinguer les deux formes : morphométrie, nombre d’ovarioles, production sonore, protéines et système enzymatique. Le but de notre travail est d’évaluer si les deux formes peuvent être considérées comme des taxons différents et de réaliser une étude moléculaire phylogénétique de deux populations de C. barbarus recueillies à partir de deux localités différentes d’Algérie. Aucune différence génétique claire n’a été observée entre les échantillons morphologiquement différents. En outre, les échantillons provenant d’Algérie ne forment pas un groupe monophylétique par rapport à celui formé par les séquences tirées de GenBank et provenant d’individus d’autres régions géographiques. En dépit des différences morphologiques observées entre les deux populations, notre étude montre qu’il n’y a pas de différence au niveau moléculaire en utilisant les deux gènes mitochondriaux COI et 16S.
http://www.zoobank.org/urn:lsid:zoobank.org:pub:1BD2D778-C800-43C7-8EAE-F032AF75FFB7
Acknowledgments
We thank the managers and staff of the laboratories of Orthopterology (Facultad de Biología) and Molecular Biology (Facultad de Veterinaria) of the University of Murcia that have enabled us to make this work. We thank María Dolores García, Eulalia Clemente Espinosa, María Isabel Arnaldos Sanabria, Esperanza, Pilar de la Rúa and José Galián for their help in this work.