Some recent trends in precipitation in Western Canada and their possible link to rising carbon dioxide: Research note

Abstract

Observations of the changes in mean annual and seasonal precipitation with time in British Columbia and western Alberta between the periods 1931–60 and 1951–80 indicate that more stations show an increase than a decrease. Changes tend to be positive on the coast, negative in south‐central British Columbia, positive on the west slopes of the Rockies, and negative to the east. This suggests an orographic influence and increased flow from the southwest at mountain‐top.

The possibility that these changes in precipitation are associated with CO₂ warming is considered.

Both the surface air temperature and sea surface temperature were raised by 2°C for cyclogenesis events over the northeastern Pacific and the consequences were investigated with the aid of a limited‐area, 8‐level primitive equations model. The lows are deepened by as much as 6 mb and precipitation amounts are increased up to 8 mm owing to the increased mixing ratio and the feedback of latent heat energy.

Résumé

Les observations de la variation temporelle de la précipitation annuelle moyenne et saisonnière en Colombie‐Britannique et dans l'ouest de l'Alberta au cours des périodes de 1931–60 et de 1951–80 indiquent qu'il existe plus de stations accusant des augmentations que celles accusant une diminution. Les variations tendent à être positives le long de la côte, négatives au sud central de la Colombie‐Britannique, positives sur le côté occidental des rocheuses, et négative dans l'est. Ceci semble suggérer une influence orographique et un plus grand écoulement provenant du sud‐ouest au niveau du sommet de la montagne.

On étudie l'association possible d'un réchauffement dû au CO₂ à ces variations de la précipitation.

On a augmenté la température de V air ainsi que celle de la surface de la mer de 2°C au cours des événements de cyclogénèse dans la région nord‐est du Pacifique et les conséquences de cette augmentation ont été étudiées à l'aide d'un modèle à équations primitives à 8 niveaux et à aire limitée. Les cyclones s'approfondissent alors d'une quantité atteignant jusqu’ à 6 mb et les hauteurs de la précipitation augmentent d'une quantité atteignant jusqu’ à 8 mm dû à l'acroissement du taux de mélange et de la rétroaction de l'énergie de la chaleur latente.