A simulation of sea‐ice motion and distribution off Newfoundland during LIMEX, March 1987

Abstract

A coupled ice‐ocean dynamical model is applied to the simulation of sea‐ice motion and distribution off Newfoundland during the Labrador Ice Margin Experiment (LIMEX), March 1987. In the model, the ice is coupled to a barotropic ocean through an Ekman layer that deepens with increasing wind speed. A 6‐hourly gridded wind dataset was used as input to drive the ice and the ocean. The results show that ice velocities with ice‐ocean coupling are appreciably higher than those without coupling because of the generation of wind‐driven coastal currents. This suggests that coupled ice‐ocean dynamics should always be considered in short‐term sea‐ice models. The model gives reasonable agreement with the observed ice edge except in the southern boundary where ice‐melt has a strong influence on the ice‐edge position. Ocean currents, sea level and ice velocities computed from the model are in qualitative agreement with limited current‐meter, tide‐gauge, and ice drifter trajectory data.

Résumé

Au cours de LIMEX 87, en mars, on a appliqué un modèle dynamique couplé glace‐océan à la simulation du mouvement et de la distribution de la glace de mer au large de Terre‐Neuve. On a couplé la glace à un océan barotrope en utilisant une couche d'Ekman qui s'approfondit avec des vitesses croissantes du vent. Un ensemble de données de vent de six heures sur une grille a été utilisé pour actionner la glace et l'océan. Les résultats montrent qu'avec un couplage glace‐océan la vélocité des glaces est beaucoup plus grande que sans le couplage en raison de la création de courant côtiers poussés par le vent. Ceci laisse penser que la dynamique couplé glace‐océan devrait toujours être considérée dans les modèles à court terme océan‐glace. Le modèle s'accorde assez bien avec la limite des glaces observée sauf au sud où la fonte a une grande influence sur sa position. Les courants océaniques, le niveau de la mer et la vélocité des glaces calculés par le modèle sont en accord quantitatif avec les données limitées provenant de courantomètres, de marégraphes et de la trajectoire des dériveurs.