Abstract
This study aims to uncover some of the reasons for differences in attitudes towards family‐friendly and equal opportunities (EO) policies for women between senior and junior staff and between male and female staff. This in‐depth case study of a multi‐national corporation in Hong Kong that included a survey questionnaire, interviews and participant observation suggests four categories of female employees according to their approach to EO: advocators, supporters, outsiders and rejecters. The approach adopted was dependent on the woman's level of empathy towards the situation of working women and the extent of her career ambition. Four categories of male employees can also be classified depending on their level of empathy towards women's situation (similar to women's case) and their extent of career satisfaction (in contrast to women's career ambition), namely, antagonists, outsiders, fence‐sitters and sympathizers. Women at higher levels were less supportive of EO than women at lower levels. No such clear relationship between organizational level and attitudes towards EO was observed among men. In Hong Kong, female managers had little expectation that their organization would be family‐friendly and women workers who consciously chose to balance work and family accepted that it meant fewer promotional chances. No such self‐adjusted depressed ambition was observed among men.
Cette étude se donne pour but de révéler quelques‐unes des raisons des différences des attitudes entre les personnels supérieur et inférieur et les personnels masculin et féminin en ce qui concerne les politiques en faveur de la famille et les politiques de l'égalité des chances pour les femmes. C'était une étude de cas en profondeur d'une entreprise multinationale à Hong‐Kong, une étude qui inclut un questionnaire de recherche, les entrevues et l'observation participante et qui suggère l'existence de quatre catégories d'employées, qu'on définit d'après leurs démarches à l'égalité des chances: les défenseuses, les partisanes, les femmes de l'extérieur, et les femmes qui la repoussent. La démarche choisie dépendait du niveau de l'empathie de la femme à l'égard de la situation d'employées et à l'égard de la mesure de son ambition professionnelle. On peut aussi classifier quatre catégories d'employés, ce que dépendait du niveau de leur empathie envers la situation de femmes (de la même façon du cas des femmes) et envers la mesure de leur satisfaction professionnelle (par contraste avec l'ambition professionnelle des femmes): à savoir les opposants, les hommes de l'extérieur, ceux qui ne prennent pas position, et les sympathisants. Les femmes aux échelons supérieurs de l'entreprise étaient moindres pour les politiques de l'égalité des chances que celles aux échelons inférieurs. On ne pouvait pas observer entre les hommes un tel rapport fort entre l'échelon de l'entreprise et les attitudes envers les politiques de l'égalité des chances. À Hong‐Kong les directrices avaient peu d'attente que leur entreprise serait en faveur de la famille et les employées qui eurent délibérément préféré équilibrer l'emploi et la famille acceptèrent que cela réduirait les chances de l'avancement professionnel. On n'observa pas entre les hommes une telle ambition refoulée et spontanément modifiée.