Abstract
Homemaking is associated with domiciled family life, community, and secure work. Moving beyond this perspective, we explore the experiences of people dislocated from family, community, and work, and their efforts to make a place for themselves. We consider a homeless man's efforts to make a home on the streets of Auckland in the absence of positive social ties, employment, and a domiciled abode. This case draws upon an auto-biographical interview, three photo-production projects and three photo-elicitation interviews with Daniel. We consider Daniel's profound sense of loneliness and efforts at imagining a domiciled home beyond the streets where he can forge meaningful relationships. Daniel is now re-housed, in part, as a result of insights from this research being used in social work practice.
Avoir un logement qu'on peut appeller ‘chez soi’ est souvent associé à une ‘petite vie familiale et tranquille’. En plus, c'est normalement associé aux gens qui ont un travail payé et stable. En essayant de s’écarter un peu de cette perspective, nous explorons ici les expériences des personnes ‘décrochées’ de leur famille, de communauté, et d'emploi – en plus, nous essayons d'explorer leurs efforts pour trouver (pour eux même) un ‘lieu de refuge’ – un ‘chez-soi’. Dans notre exposé nous décrirons les efforts d'un ‘sans-abri’ (Daniel) pour se faire un lieu de refuge aux rues d'Auckland à défaut de liens socials positives, à défaut d'un employ, et à défaut d’être sans domicile fixe. Afin de produire cette étude de cas les chercheurs ont effectué un entretien autobiographique. Ils ont aussi utilisé des photos pour provoquer et encourager des réponses de Daniel. Nous essayons de mieux définer la solitude profonde de Daniel et de décrire ses efforts pour s'imaginer dans un vrai ‘chez soi’ dans lequel cela serait possible de forger des alliances et les amitiés avec les autres. Actuellement Daniel est relogé – en partie dû au fait que cette récherche a fourni un bon aperçu pour l'assistance sociale.